[1] | Pour ce, au departement, Quoy que nature m'aict si tresfort tempté Que mon couraige souspire tendrement, Dire vous veulx vostre gouvernement, A celle fin que vous contregardez; (LA VIGNE, S.M., 1496, 190) | [2] | S'aulcun de vous en nul temps la main tint D'excecuter une emprise civille, Ne se jamais le droit du roy soubstint, A ceste foys n'aict pencee si ville Que lasche soit; (LA VIGNE, S.M., 1496, 231) | [3] | En Dieu j'ay ma volunté myse, Mon reconfort et mon entente Ne jamais n'en sera desmyse Tant que mort m'aict mys soubz sa tente. aict pencee si ville Que lasche soit; (LA VIGNE, S.M., 1496, 261) | [4] | Il fault mectre a destruction L'aultel affin que desormais Personne n'aict affection D'y venir s'abuser jamais. (LA VIGNE, S.M., 1496, 431) | [5] | Ung jeune cueur pour se faire valoir Lache couraige doibt mectre a nonchaloir, Affin qu'onneur en sa personne appere, Et qu'en luy aict si notable vouloir Qu'aprés sa mort a chascun puisse l'oir Conter et dire les haulx faitz de son pere. (LA VIGNE, Ress. chrest. B., 1494, 125) |
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