C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de alarmes dans 7FMR 
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[1] Tost fut armé monsr de Charoloys, mais encores plus tost le duc Jehan de Calabre, car à tous alarmes c'estoit le premier homme armé, et de toutes pièces, et son cheval toujoursbardé. (COMM., I, 1489-1491, 71)
[2] Carmes, moynes, pour ses rudes alarmes Larmoyer face, a cela je pretends; (LA VIGNE, S.M., 1496, 142)
[3] Ainsi se feront aux alarmes Jeunes gens d'icy en avant Et si entreront aux vacarmes Beaucoup plus viste que le vent. (LA VIGNE, S.M., 1496, 158)
[4] Puis, en apprés, par mon vouloir tresnoble Et vraye adresse, Julles Cesar, congnoissant ma proesse Et mon entiere, singuliere noblesse Qui, en nul temps, petit ou grant ne blesse, D'amour ravie, En ceste ville qui se nomme Pavie, De me donner la charge a heu envie, Plustost qu'a nul qui soit present en vie De ses gendarmes Que j'ay tousjours, en faisant beaux faiz d'armes, Conglutinez aux dangereux alarmes, Dont ennemys ont gecté maintes larmes, Souspirs et plains. (LA VIGNE, S.M., 1496, 163)
[5] Aussi, en moy n'ay la pratique et l'art, Car de moy mesmes je crains trop les alarmes: Vela le cas pourquoy je suis couart. (LA VIGNE, S.M., 1496, 167)
[6] Par noz assaulx et dangereux alarmes, Plusieurs gallans gecteront maintes larmes En combattant, tant d'estoc que de taille. (LA VIGNE, S.M., 1496, 229)
[7] En Dieu serez aussi seur c'un pillier,S'a vous ne tient, puisque portez ses armes, Aussi l'abit d'un moyne regullier Pour subjuguer les perilleux alarmes, Temptacions et dangereux vacarmes Que nuyt et jour le faulx deable nous fait. (LA VIGNE, S.M., 1496, 372)
[8] A Millan fut, ou si bien laboura Que tout le peuple grandement l'onnoura: Mesme le conte Galïach prompt aux armes Et Ludovic, qui depuis grans alarmes Luy conspira, quant approcher le sceurent, Comme il affiert, haultement le receurent; (LA VIGNE, V.N., p.1495, 139)
[9] Et la jadis avoit ung grant lyon De mabre blanc, qui entre ung million Souloit porter de Florence les armes, Mais abatu fut par derision Du temps qu'entreulx ilz firent leurs alarmes. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 205)
[10] Tant que la fut avecques tous les siens, Aucuns mutins mirent sus deux alarmes, Mais toutesfois en fin ce ne fut riens, Ce neantmoins que tous furent en armes Et cuyda l'on faire de grans vacarmes Par le moyens de quelque frenaisie, Souspeçonnee mauvaise fantasie Que sur Françoys eurent aucuns patrons: Car ilz entrerent en trop grant jalousie Ainsi que font communement poiltrons. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 221)

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