C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de ambassade dans 7FMR 
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[1] Mais qui plus est, regardes la noble chose que est renommée en grant seigneur, car je te jure que meismes le souldain de Babilonie, desirant son accointance, envoya de ses chevaliers en ambassade avec mains biaux presens. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 139)
[2] Ledict seigneur de Lescun, le principal de leurs serviteurs, avoit maint ambassade allant et venant au roy et à eulx deux, au roy d'eulx, au conte de Charrolois, depuis duc de Bourgogne, et de luy à eulx, du roy audict duc de Bourgongne et de luy au roy, les ungs pour sçavoir nouvelles, les autres pour fortraire gens et pour toutes mauvaises marchandises, soubz umbre de bonne foy. (COMM., I, 1489-1491, 92)
[3]Et pour commencer à conduire toutes ces choses, envoya une grand ambassade devers le roy à Paris, oudit an, dont estoit chief le conte de Gaiace, filz aisné dudit Robert de Sainct-Severin, dont j'ay parlé; (COMM., III, 1495-1498, 21)
[4] et estoit la première ambassade grande qu'il eut envoyé devers ledit seigneur. (COMM., III, 1495-1498, 21)
[5] Et fut le tout envyron l'an MCCCCIIIIxxXII,Dudit archiduc et, en sa faveur, grand ambassade vint de par l'empereur Federic, voulant se faire mediateur dudit accord. (COMM., III, 1495-1498, 24)
[6] Comment le roy, estant encores en Ast, se resolut de passer oultre vers Napples à la poursuyte de Ludovic Sforce et comment messire Philippe de Commynes fut envoyé en ambassade à Venise. (COMM., III, 1495-1498, 44)
[7] Toutesfoiz il fut conclud d'envoier plusieurs hommes en ambassade, et moy entre les aultres à Venise. (COMM., III, 1495-1498, 46)
[8] Praticque se meüt à Florence, et depputèrent gens pour envoyer devers le roy jusques à XV ou XVI, disant en la cité qu'ilz ne vouloient demourer en ce peril d'estre en la hayne du roy et du duc de Milan, qui tousjours avoit son ambassade à Florence. (COMM., III, 1495-1498, 54)
[9] Il arresta poy à Florence et tira vers Senne, où il fut bien receü, et de là à Viterbe, où les ennemys avoyent intention de leur venir loger et s'y fortiffier pour combatre, s'ilz y veoient leur adventaige (et ainsi le me disoit l'ambassade du roy Alphonce et celle du pape, qui estoit à Venise), cardon Ferrande s'estoit retiré vers Rome. (COMM., III, 1495-1498, 68)
[10]L'ambassade du couvent. (LA SALE, J.S., 1456, 285)

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