[1] | Elle est de tes lunettes l'une : Tel berille n'a soubz la lune. (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 36) | [2] | Mais si Fortune contre toy se ralye Et te combat, Sans qu'ais rien faict qui deust mouvoir debat, Dont corps ou biens ayent, en leurs cas, rabat, Prent ce qui vient com si c'estoit esbat Et soit cachee Ta passion et dedans attachee, Si que dehors n'aye la face tachee Juc Attrempance l'ayt traicte et arrachee Pour bonne fin, A quoy viendras sans doute a la parfin, Si mouvemens premiers restrains, affin Que par Prudence, la berille tresfin, Ays propos ferme Sur Raison prins, qui en bien le conferme. (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 81) |
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