C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de commum dans 7FMR 
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[1] Au regard des lettres que le roy commande qui sont aucunesfoys estranges et desraisonnables, vous ne le devez si tost seeller, et en fauldroit parlerau roy et le advertir, comme de alienacion de demaine, privileges et franchises contre droit commum, choses contre les drois de l'Esglise et personnes ecclesiastiques, et telles manieres de choses; (JUV. URS., Nescio, 1445, 446)
[2] Et en verité il y a tel village ou le seigneura toute justice, que ung soy disant lieuxtenans des eaues et forestz a tenu ses manieres d'assises, et avoit fait adjourner de IIII a Vc povres gens de village, et dit on que on proposoit contre eulx que ilz avoient chassé ou sanglier ou cerf de leurs jardins, vignes et blefz, et que ilzc'estoient efforcés de les prendre, et pareillement de commins, voire encore ou il n'y avoit point de garenne, et pour abresger on disoit ung proverbe commum que ilz avoient pissé contre le soleil; (JUV. URS., Nescio, 1445, 521)
[3] Bien y en avoit d'esbahis se les gens d'esglise, nobles, peuple, tous d'un commum accord desliberoient et concluoient de n'en plus payer aucune chose, et que les seigneurs feussent contrains de vivre de leurdemaine. (JUV. URS., Nescio, 1445, 526)
[4] lesquelles ne sont point pour mon interest particulier, mais pour tout le bien publique de vostre royaume et pour les trois estas d'icelluy, c'est assavoir l'esglise, noblesseet commum peuple; (JUV. URS., Verba, 1452, 185)
[5] la chose que nous devons plus doubter c'est indignacion de Dieu par faulte de recongnoissance, laquelle nous ne voyons ou appercevons gueres,ne en vous ne en vostre commum peuple. (JUV. URS., Verba, 1452, 199)
[6] Je viens a la seconde partie principale, en laquelle j'ay intencion de exposer aucunes clameurs de vostre peuple, tant de gens d'esglise, nobles, que du commum; (JUV. URS., Verba, 1452, 201)
[7] Il y a ung commum proverbe, Il n'est pas sire de son pais, Qui de ses subgetz est hays. (JUV. URS., Verba, 1452, 207)
[8] Et ainsi sembleroit par ce que dit est que onne deust point a mettre es fais de guerre le peuple commum; (JUV. URS., Verba, 1452, 238)
[9] Vos predecesseurs ontaccoustumé, quant ilz avoient affaire pour la guerre, ilz faisoient assembler les trois estas, en demandant aux gensd'esglise, nobles et commum peuple que ilz feussent vers eulx en quelque bonne ville, et y venoient et y faisoient notablement monstrer les affaires que il avoit pour resister aux ennemis, en requerant que ont voulsist adviser comment il pourroit sa guerre soustenir, et que selon l'advis des chargés on luy voulsist aider; (JUV. URS., Verba, 1452, 267)
[10] Et aucunesfoys advendra que les juges ou ceulx de vostre Conseil, pour venir a leur intencion, gloseront les loys ou ordonnances contre la vraye teneur ou ymaginacion de ceulx qui les firent, pour parvenir ou faire ung plaisir desraisonnable a ceulx ausquelx ilz auront affection, sans avoir regard au bien de la chose publique, et considereront plus l'escripture, qui sera aspoir aucunement obscure, que le proffit commum; (JUV. URS., Verba, 1452, 288)

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