C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cottes dans 7FMR 
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[1] Aprés venoientles poursuivans et puis les heraulz des seigneurs du pays, tous heraulz et poursuivans portans les cottes d'armes en la façon qu'ilz les devoient porter. (LA SALE, J.S., 1456, 122)
[2] Ensemble ceulx qui portoient ses cottes d'armes, tymbre, espee, estandars, guydons et autres choses par ordonnance comme dit a esté. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 313)
[3] Le jour devant qu'ilz furent tous ensambleet conseilliet l'un parmy l'autre, parmy l'information que Geronnet leur avoit dit et fait et monstré à quelle heure ilz venroient, cilz Geronnet, luy XIIe. de compaignons, vestus en abis de gros varlez, marcheans en cottes de buriaux, et chascun menant chevaulx de harnois tous unis selon l'usaige que ilz ont ens ou pays, se departirent d'Usach devant l'aube du jour, et se mistrent en chemin vers Montferant, aroutez de leurs chevaulx comme marcheans voituriers, et entrerent environ nonne en la ville de Montferant. (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 206)
[4] On en fera bonnes cottes chasseresses pour voz veneurs. (ARRAS, c.1392-1393, 33)
[5] La peussiez ouïr grant martelleiz au reclouer pans, plates, gantellez, harnoiz de jambes, a enferrer lances, a ferrer chevaulx, au rouler cottes d'acier et jaserens, et toutes autres choses neccessaires. (ARRAS, c.1392-1393, 95)
[6] Donnez aux bons hommes d'armes chevaulx, cottes d'acier, haches, bacinez de espreuve et argent selon raison. (ARRAS, c.1392-1393, 153)
[7] Le roy y entre et regarde par my la chambre, et y voit grant foison de chevaliers pains, armez de leurs cottes d'armes toutes armoiees de leurs armes. (ARRAS, c.1392-1393, 304)
[8] et, pour garder iceulx, estoient roys d'armes et heraulx vestuz et parez des cottes d'armes dudit seigneur. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 292)
[9] Le costé de sa part de la lice estoit paré des bannieres de ses cottes, et il entra dedans la lice noblement accompaigné. (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 303)
[10] et si souvent se consuyvirent de plaine atteinte sur les corps, que les cottes d'armes de l'ung et de l'aultre furent en plusieurs lieux rompues et dechirées; (LA MARCHE, Mém., I, c.1470, 330)

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