C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de creue dans 7FMR 
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[1] Depuis, celle cité accreue Fu grandement et de maint creue, Si vous en vueil un pou parler Adés, sanz plus avant aler. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 329)
[2]Six cens ans et .XXII. d'aage Avoit ja, si com dit la page, Que Romme fondee ot esté, Mais moult fu creue en poesté,Quant le roy d'Aise Atabïus Mourut de mort, comme est li us ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 259)
[3] Si te plaise, bon prince, nocter les dis des sages et à ceulx te confourmer, car si que dit Exopus, il n'est riens meilleur que sain conseil, ne pire que faulse exortacion se elle est creue. us ; (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 119)
[4] La raison est pour ce qu'il appartient, si que dit est, que la parolle yssant de la bouchedudit prince soit creue sans affirmacion de serment, car son auctorité requiert qu'il die verité, si fait à supposer que veritable soit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 163)
[5] Car dit la loy de Dieu que foy catholique doit estre entierement, fermement et unement creue, ainsi comme Nostre Sainte Mere Eglise le nous commande, se estre voulons participans ou merite que dist Jhesu-Crist à Saint Thomas: Beneurez seront ceulx qui ne me verront et me croiront. (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 42)
[6] Et se pieca eust esté creue, Ceste mescheance si acreue Ne fust mie, c'est chose voire. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 118)
[7] et pareillement sont à maint influées telles graces, mais n'est mie doubte que se telz hommes ainsi esleus pevent vivre jusques en aage de meureté, que à cent doubles en eulx est creue la perfection de leurs graces ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 35)
[8] la vertude charité en lui reluit, aux pouvres gentilz hommes secuert, aux religieux besoingneux fait mains biens, à pouvres clers et escoliers et vers toute pouvre gent est piteux et aumosnier, et la bonne amour, qu'il a tousjours eue vers les gentilz dames, damoiselles et toutes femmes, est continuée, mais est creue en vertu, car l'amoureuse plaisance de jadis est tournée en charitable vertu, car, si qu'il est escript du prince Brutus, qui estoit le reconfort et soustenail des veusves dames de Romme et de toutes femmes à qui on feist tort, ainsi ce bon duc est le reconfort des pouvres gentilz femmes et de toutes celles es quelles voit cause d'avoir pitié, les secueurt du sien, baille leur requestes en Conseil, se elles y ont à faire, les ramentoit, procure leur bien et aide, de sa parole soustient leur droit, et porte en toute raison, et de ce puis-je bien parler par droitte experience, car son aide m'a eu besoing et n'y ay mie failli, le benoit Filz de Dieu lui vueille meriter ! (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 157)
[9] mais pourquoy ne a qui dis je ces paroles, quant je sçay que n'en seray pas creue? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 48)
[10] Mais en vain se debati, car n'en fut pas creue. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 48)

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