C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de croissoit dans 7FMR 
39 attestations 
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[1] Vïolete croissoit par lieux, Et tout faisoit ses devoirs tieulx Comme Nature le duisoit. (CHART., L. Dames, 1416, 198)
[2] En une sente me vins rendre, Longue et estroicte, ou l'erbe tendre Croissoit tresdrue et un pou mendre Que celle qui fut tout autour. (CHART., L. Dames, 1416, 202)
[3] Le cuer ens ou corps lui croissoit, D'engoisse et de päeur estraint, Tant qu'a bien peu qu'il ne froissoit Quant l'un et l'autre le contraint. (CHART., B. Dame, 1424, 337)
[4] Si me levay legierement, Plus ne me tins en la parece De plour, qui croissoit ma destrece. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 52)
[5] Que t'en diroie, monseigneur redoubté, de ton tres sage ayol trop convendroit de temps à tout compter de ses vertus, mais pour tout dire en un mont, tant alloit ainsi faisant par son sens, clemence et liberalité que adès croissoit de le heur de sa bonne fortune de bien en mieulx. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 140)
[6] Et ycelle sage croissoit et engroissoit la pasture au feur de ma force tant qu'a par moy porter et paistre mon corps je pos, duquel croissoit l'entendement qui ja me donnoit congnoissance de la diversité des entrailles du ventre de l'ymage par sus lesquelles a deux piez je marchoie, lesquelles estoient faictes de cailloux et dures roches par montaignes et valees, bois et mettaulx et diversitez maintes. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 14)
[7] Et ycelle sage croissoit et engroissoit la pasture au feur de ma force tant qu'a par moy porter et paistre mon corps je pos, duquel croissoit l'entendement qui ja me donnoit congnoissance de la diversité des entrailles du ventre de l'ymage par sus lesquelles a deux piez je marchoie, lesquelles estoient faictes de cailloux et dures roches par montaignes et valees, bois et mettaulx et diversitez maintes. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 14)
[8] et tost aprés, lors que sa grace vers moy de plus en plus croissoit, le me tolli par Mort la desloyale? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 114)
[9] Incontinent veismes saillir le conte de Sainct Pol du boys, qui avoit bien quarante hommes d'armes avecques luy, et son enseigne, et marchoit droit à nous, et croissoit de gens; (COMM., I, 1489-1491, 32)
[10] Car, lorsqu'on frappoit sur luy, le couraige luy croissoit, et qui plus est, encouraigoit ses gens et leur faisoit enfler le cueur, tant par ses dictz que par ses vertueux faitz. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 288)

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