C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de cuirasse dans 7FMR 
6 attestations 
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[1] car la presence de son cappitaine et le don qu'il lui avoit fait de sa cuirasse lui doublerent coeur et hardement de bien faire. (BUEIL, I, 1461-1466, 37)
[2] Je croy que j'ay bien employé ma cuirasse et ne la plains pas. (BUEIL, I, 1461-1466, 38)
[3] Galiot feroit de hault et de taille moult grans coups, et le seigneur de Ternant ferit deux coups de hault, l'ung devant main et l'aultre renvers, et puis se joindirent les chevaulx, et commença le seigneur de Ternant à charger et à querir son compaignonde la pointe de l'espée par le dessoubz de l'armet, tirant à la gorge, sous les aisselles, à l'entour du croisant de la cuirasse, par dessoubz la ceingnée du bras, à la main de la bride, jusques à bouter son espée entre la main et la bride, tant que ladicte espée passoit oultre une poignée, et partout le trouva si bien armé et pourveu que nulle blessure n'en advint, et ainsi furent prins. (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 78)
[4] La dix huitiesme course, messire Jaques de Lalain atteindit l'escuyer sur le placart au senestre cousté, et la lance fut bonne et forte, et le fert, qui fut fin et aceré, print audit placart, et de celuy cop fut ledit placart faulsé tout oultre jusques à la cuirasse, et certes, se la lance ne fust de celuy cop rompue, je faiz doubte que l'escuyern'eust esté adommaigé de sa personne, et que la cuirasse n'eust peu soubstenir l'atteinte dont le placart, qui estoit le plus fort et plus espez, estoit desjà percé et faulcé; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 192)
[5] La dix huitiesme course, messire Jaques de Lalain atteindit l'escuyer sur le placart au senestre cousté, et la lance fut bonne et forte, et le fert, qui fut fin et aceré, print audit placart, et de celuy cop fut ledit placart faulsé tout oultre jusques à la cuirasse, et certes, se la lance ne fust de celuy cop rompue, je faiz doubte que l'escuyern'eust esté adommaigé de sa personne, et que la cuirasse n'eust peu soubstenir l'atteinte dont le placart, qui estoit le plus fort et plus espez, estoit desjà percé et faulcé; (LA MARCHE, Mém., II, c.1470, 192)

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