C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dez dans 7FMR 
525 attestations 
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[1] Ceulx qui s'en rusent, A jeu de dez, ou pis, souvent s'amusent Ou a suÿr quoquars qui les abusent, Ou a chacer corps, temps et robes usent. (CHART., D. Fort., 1412-1413, 177)
[2] Plus scet aux dez ou a la paulme; (CHART., L. Dames, 1416, 226)
[3] Si tost que ces troys abhominablez monstres me furent apparuez, la seconde avoit tel desir de respandre par sa bouche arrogans et rioteuses paroles, que la haste de parler lui entrerompoit sa voix et faisoit sa langue bauboyer, et la multitude dez reprouches et mesditz, qui s'efforcoient yssir de son apostumé courage, enmpeschoit l'un l'aultre, ainsi que presse de gens qui se hastent de yssir par ung estroit guisset. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 6)
[4] Comme peult estre ta langue sans clameur et sans plaintez, quant la bouche ou elle siet est fameilleuse par souffreté, et les aultres sont aouilliés sans desertes dez biens que tu cuides avoir desservis? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 10)
[5] Se les pensees dez hommes estoient tourneez en haultes voix, et les couvers gemissemens en lamentations publiques, noz oreillez seroient estonneez et noz cueurs espoentés de ouir la doloureuse affliction et les piteuses plaintes dez bons franchoys; , et la multitude dez reprouches et mesditz, qui s'efforcoient yssir de son apostumé courage, enmpeschoit l'un l'aultre, ainsi que presse de gens qui se hastent de yssir par ung estroit guisset. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 11)
[6] Se les pensees dez hommes estoient tourneez en haultes voix, et les couvers gemissemens en lamentations publiques, noz oreillez seroient estonneez et noz cueurs espoentés de ouir la doloureuse affliction et les piteuses plaintes dez bons franchoys; , et la multitude dez reprouches et mesditz, qui s'efforcoient yssir de son apostumé courage, enmpeschoit l'un l'aultre, ainsi que presse de gens qui se hastent de yssir par ung estroit guisset. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 11)
[7]Hanibal, qui tant rabaissa la gloire dez Rommains que leur povoir, qui le monde seigneurisoit, fut restraint et serré dedens leurs seulles muraillez, aprés sa fortune muee en infelicité, porta tousjours en son anel le venin, pour remede final de ses doubtes a besoing, et au destroit du peril de sa vie donna au venin le nom de sa mort, pour tollir aux glaives des Romains la gloire de l'occision de si hault duc. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 19)
[8] Certes ellez furent nourriez es tenebres d'enfer, ennemies de la paix des consciences et adversaires du salut dez ames. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 23)
[9] Pourtant estoit le regart d'Entendement tousjours rabatu et reflechi vers mon lit, et sur l'englet ou les troys damnees menteresses se tenoient, voire si que tourner ne se sçavoit vers lesdites dames, ne les recevoir et bienvieignier comme a garde de mallade affiert, mais demouroit en une vergonneuse descongnoissance, tant que la premiere dez troys dames s'enhardit par doulces parolles, que de son humble auctorité et de sa tres auctorisee simplesse elle commença en telle sentence: (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 24)
[10] Que songes tu, Entendement raisonnable, ymage de la eternelle unité, cler ruissellet decourant de la source de vie, raysant de la resplendisseur du souverain solleil, dont nul ne peult fouir la chaleur, rayant en corps humain pour enluminer les tenebres dez mortelx? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 24)

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