| [1] | Dictes " Ouÿe ". (CHART., L. Dames, 1416, 272) | | [2] | Tant en ont de lermes plourees Maintes grans dames honnourees Qui en sont seules demourees,Comme vous dictes. (CHART., L. Dames, 1416, 275) | | [3] | " Et doncques, par ce que vous dictes, Ce loz et pris que les chiefz ont Ne vient mie par leurs merites, Quant ce sont ceulx qui moins en font. (CHART., D. Her., p.1415, 428) | | [4] | ! Ci se excuse des choses dictes. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 79) | | [5] | Dont il avient que s'estudient Les aucuns a ce qu'elles dient Comprendre et enquerir le voir De .III. choses, qu'el fait savoir, Lesquelles sont, je vous affie, Requises en Philosophie : L'une est de la divinité Entendre la solempnité Et haulte magesté et puis, Ainsi com comprendre le puis, L'autre est des choses de Nature, Puis des humaines, et leur cure Mistrent plusieurs a le comprendre Et, pour ce, ceulx, qui bien entendre Sçorent les causes dessus dictes, Et soubtilment les ont escriptes, Philosophes on a nommez, Dont les nobles dis sont semez. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 105) | | [6] | Sophystique sont les exemples Soubz paraboles dictes amples, La foy y est pour argument Proposé bien agüement, Et, la, le silogisme prent La loy divine, qu'il emprent, Pour majeur proposicion, Et la mineur dileccion De charité ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 109) | | [7] | Toutes ces choses, que j'ay dictes, Furent en la paroit escriptes De la sale ou Fortune maint, Qui grief meschief livre a maint, Et plusieurs autres, dont diray Partie, et de l'autre tairay, Car ne pourroie tout compter, A grant ennuy pourroit monter ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 273) | | [8] | Et avant que plus oultre passe, Affin que je ne le trespasse, Pour mon oeuvre mieulx atourner, Me faut arriere retourner, A parler des autres regnez : Comment commenciez et finez Furent, en plusieurs nacions, Par maintes persecucions, Tandis que ces choses avindrent, Que j'ay dictes, et quieulx gens tindrent Mains autres estranges regnez, Qui par Fortune demenez Furent aussi diversement, Et quel fu leur commencement. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 274) | | [9] | Consideré les choses dictes, Sont ses mutacïons petites ? (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 79) | | [10] | glorieuses chose sont dictes de toy dont à tousjours mais devras bien estre nommé Loys Dieu donné, mais qu'en bien perseveres, pour lesquelles presens bontéz tu soies beneys de la divine essence et de toutes les choses celestes et terrestes où Dieux a mis bonté, tu qui nous donne cause de chanter haultement : Gloire soit au hault Dieu du ciel et en terre paix aux hommes de bonne voulenté. comprendre Et, pour ce, ceulx, qui bien entendre Sçorent les causes dessus dictes, Et soubtilment les ont escriptes, Philosophes on a nommez, Dont les nobles dis sont semez. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 61) |
|
|
Attestation de 