C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de diras dans 7FMR 
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[1] Que diras tu de tes congnoissans acointes, que tu as servis comme tes amys, fors que nom d'amy a esté commun a eulx et a toy, maiz l'amitié t'est a toy seul demouree. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 9)
[2] Que diras tu, se lez vices de ton royaulme le rendent indigne de misericorde? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 38)
[3] Tu diras d'autre part que tu es fort d'amys, et appuyé d'aliez. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 104)
[4] Mais que me diras-tu du surplus de ta belle porteure que je nomme au derrain tout de gré afin de te laissier meilleur goust de joye, si comme les chiers et bons mes se donnent en la fin (que Dieux par sage grace te vueille sauver! (CHR. PIZ., P.V.H., 1416-1418, 39)
[5] Mais tu me diras : comment fera la grant dame ces aumosnes et ces choses se elle n'a argent, car devant est dit qu'il y a peril a amasser tresor ? (CHR. PIZ., Trois vertus W.H., c.1405, 39)
[6] Apres me dist : Cristine, chiere Amie, qui science as chiere, Tu rapporteras noz debas Si com les a ois, la bas Au monde aux grans princes francois, Et les noms salueras aincois,Puis leur diras de nostre part Que comme a la souvraine part Du monde, nous leur commettons Ce debat, que sus eulx mettons A jugier droiturierement Le quel doit le gouvernement, L'onneur et la prerogative Et loenge superlative Du monde avoir : ou grant noblece Ou chevalerie ou sagece Ou grant richece, et qu'il leur plaise En jugier, quant bien a leur aise Et convenablement enquis Aront du droit, et si soit quis. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 267)
[7] Et tu me diras doncques : comment seront punis les malfaicteurs secrez? (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 86)
[8] Or advises que nous diras Et que tu nous responderas; (DESCH., M.M., c.1385-1403, 17)
[9] Lors, quant elles se partiront, Fay semblant d'elles convoier: Celles le vourront devoier, Tu diras: " Certes si feray, A tout le moins vous convoiray Jusques au chief de ceste rue. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 114)
[10] De telz labeurs ne t'entremet De ta force et de ta louenge Destruire en la maison estrange, Car, se tu le fais, tu diras, Quant ton corps exillié verras: " Pour quoi n'ay je crut discipline? (DESCH., M.M., c.1385-1403, 186)

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