| [1] | De Syrus que dirons, qui respandy tant de sang humain sur la terre? (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 140) | | [2] | en brief, vous dirons Ce qu'il s'en ensuivi aprés, Car m'euvre encor est longue tres. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 111) | | [3] | Apres ce que avons devisé des bons, sages, loyaulx et propices conseilliers desquelz trop grant louenge ne pourrait estre dicte ne assez de bien leur fait, comme par eulx et par leurs sages, justes et bons consaulx puist estre tout un pays garanti et gardé, pour laquelle chose est pitiéz quant tous ne sont telz, dirons la cause qui aucuns puet pervertir et destourner à estre bons, dont grant meschief est quant il avient, c'est assavoir convoitise, qui racine est de tous maulx et de tous vices. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 78) | | [4] | Mais pour declairier quel chose est droite justice et à quoy bonne en dirons apres. louenge ne pourrait estre dicte ne assez de bien leur fait, comme par eulx et par leurs sages, justes et bons consaulx puist estre tout un pays garanti et gardé, pour laquelle chose est pitiéz quant tous ne sont telz, dirons la cause qui aucuns puet pervertir et destourner à estre bons, dont grant meschief est quant il avient, c'est assavoir convoitise, qui racine est de tous maulx et de tous vices. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 94) | | [5] | Et comme ceste parolle se puist adrecier principalment aux princes et seigneurs pour ce qu'en eulx est tant de guerdonner les bons de leurs bien faiz comme de pugnir les mauvais de leurs deliz, dirons à ce propos, en ce chapitre, pour ce que besoing fust que ainsi on feist des remedes qu'en tant de deffaulx qui cueurent au jourdui pourroient, s'il leur plaisoit, mectre les princes. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 101) | | [6] | Et pour donner exemple de l'effect de ces choses, dirons apres les raisons dictes des faiz du prealigué roy Charles. les bons de leurs bien faiz comme de pugnir les mauvais de leurs deliz, dirons à ce propos, en ce chapitre, pour ce que besoing fust que ainsi on feist des remedes qu'en tant de deffaulx qui cueurent au jourdui pourroient, s'il leur plaisoit, mectre les princes. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 107) | | [7] | Afin aussi que le nom par espace de temps ne peust estre effacié de si notable gent, est espedient le mectre en livre, et en faire memoire au moins des aucuns, comme tout dire y convendroit long conte, dirons de ceulx qui le plus communement occupéz y estoient. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 112) | | [8] | À propos, et pour traictier de diverses matieres tirant à une meismes fin de paix, dironsdes causes pourquoy peuent sourdre guerres ou rebellions entre subgiéz et seigneur afin que quelque fois ne peust estre dit n'imaginé que ou proces du contenu de ce livre fust mon entencion de fouler ou courir sus aux subgiéz ou peuples pour soustenir les seigneurs par aucune faveur ou autrement, ne plus favorisier aucun des estas que les autres, me semble bon de declairier et dire aucunes choses du tort qui puet venir de seigneur à subgiéz si que puet estre en pur effect ou semblable est aucune fois avenu ou advenir pourroit. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 119) | | [9] | Et encores à propos de l'amour que Dieu a demonstrée à peuple, qui est grant approbacion que il aime les populaires, et n'est à presumer que moins ayme, si que dit est devant, son peuple crestien qu'il faisoit cellui des juifs, si dirons aucunes choses de l'amour que il demonstra au dit peuple si qu'il est contenu en la Sainte Escripture. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 127) | | [10] | Ceste parolle cy dessus proposée ce puet entendre pour ceulx ont mestier d'aprendre, et neantmoins ne daignement ouir les bons enseignemens n'en tenir conte,et puet touchier mesmes les orgueilleux dessus dis qui sont les gens du monde plus desprisans enseignemens, mais non pour tant encores d'iceulx orgueilleux, pour donner exemple comment Dieux les pugnist, de rechief en dirons tant de princes comme d'autres. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 146) |
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Attestation de 