C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dise dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] Et pour ce enseigne le maistre au disciple : Garde qu'en chose que tu dise n'ait riens contre le prochain, car il est ton frere. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 171)
[2] Il me dist que je attendisse jusques sur le partement du roy et que ne dise sinon que je le merciois de ce qu'il lui avoit pleu que vinse ycy et que pour ceste heure ne luy voullois faire requeste de aultre chose, et que, s'il luy plesoit m'enploier en aucune chose en son service, que de millieur ceur que jamais je m'y emploirois,et puis, que a vostre venue il vous en parlera et s'y emploira de toute sa puissance. (0304, 296)
[3] Les Juifz dise que filz de Dieu se fait, Mais je n'y voit nunlz mesfait Pour quoy l'on le doit en croyx pandre, Ne je ne l'a veuz en rien mesprandre, Quar monlt for le defferoyeSe je grant rayson n'y trovoye. (Pass. Autun Biard F., 1470-1471, 95)
[4] Qu'il nous dise ou desine Que par luy est sa couronne tant nette, C'estoit son droit : pour ce plus n'en barbette ; (ROBERTET, Oeuvres Z., c.1450-1500, 94)
[5] Or sa, se dit le dit seigneur, sy luy à quelc'un qu'il me veulle dire ou adviser de quelque chose, je lui prie que à ceste heure il le dise et qu'il ne laisse point, soit petit ou grant, et ie l'orré tresvoulentiers. (6206, 333)
[6] Il n'y a ne roy ne prinsse ne grant ne petit qu'il ne dise de grans biens de lui. (6206, 351)
[7]Au reste, voz lettres m'ont doublement resjouy - ce que je ne vous mande pas comme chose nouvelle, car vous le pouvez bien penser sans que j'en dise mot - c'est de ce qu'il a pleu à notre bon Dieu de restituer Monsieur en convalescence d'une maladie si fascheuse et qu'il se trouve mieulx disposé qu'il ne faisoit devant qu'avoir eu ceste atteincte. (S583, 67)
[8] Comme je vous ay mandé par cy devant, ne soiez en poine de rien qui se dise, tenant le tout pour mensonge, jusque à ce que vous entendiez par nous comment il en va. (S583, 175)
[9]Et faut, puisque cela vient à propos, que je dise icy en passant à ceste premiere rencontre de navire, que j'ay veu pratiquer sur mer ce qui se fait aussi le plus souvent en terre : assavoir que celuy qui a les armes au poing, et qui est le plus fort, l'emporte, et donne la loy à son compagnon. (S746, 116)
[10]Il faut doncques encore que je dise le bon exemple, et la pratique qu'il monstra en cest endroit. (S746, 190)

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