| [1] | Quant en France paix aviez, Clergié, moult aysë estiez, Car parmy ses beaulx monstiers Vous alliez, Et disiez Voz psaultiers, Sagement vous conteniez. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 73) | | [2] | -- Par Dieu, mon amy, fait el, je estoye bien courrocee de quoy vous le faisiez si souvent venir ciens et lessoye a le vous dire, pour ce que vous disiez que vous l'amiez tant. (Quinze joies mar. R., c.1390-1410, 63) | | [3] | Et comment les pourroye ge scavoir, si vous ne les me disiez? (Quinze joies mar. R., c.1390-1410, 85) | | [4] | " Lors dit le conte de Parvanchières: " Vous ne nous disiez pas cecy, quant vous feustes devers le Roy. (BUEIL, I, 1461-1466, 183) | | [5] | Et pour Dieu, sire, gardés que ne disiez ce qui est escript IeremieIIIo capitulo, Dormiemus in confusione nostra, et operiet nos ignominia nostra ; (JUV. URS., Loquar, 1440, 327) | | [6] | Et sachiez que je pourray bien tel chose oïr de vous qui vous pourra bien garantir de mort, mais gardez bien que vous me disiez voir". (Bérinus, I, c.1350-1370, 218) | | [7] | Si vous prie que vous me disiez se je vous ay meffait ou non". (Bérinus, I, c.1350-1370, 280) | | [8] | Et pour ce nous est il aviz que, quelque chose que vous disiez, vous n'avez nulle voulenté de vous delivrer de vostre fille, si en serez moult grandement et villainement blasmé et en ferez parler sur vous. (Bérinus, I, c.1350-1370, 311) | | [9] | -- Or vous pry je, sire, s'il vous plaist, que vous me disiez votre nom. (Bérinus, I, c.1350-1370, 356) | | [10] | Si vueil que vous me disiez tost et delivrement que je doy faire de ceulx qui l'ont eü en garde, car je vous dy qu'ilz ne peuent ne scevent trouver ne monstrer pertuis, trou, fenestre ne crevasse par ou on en puist avoir osté riens, ne ilz ne peuent dire que nulle force on leur ait faicte, et je donne bien a entendre qu'ilz sont coulpables du meffait. (Bérinus, I, c.1350-1370, 384) |
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Attestation de 