C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de disions dans 7FMR 
12 attestations 
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[1] Pour ce qu'en l'estat des officiers, dont ou chapitre cy dessus avons parlé, peuent estre compris ceulx des cours des seigneurs et leurs serviteurs quoy que d'uns et d'autres en y ait, nous semble bon qu'en difference du mal disions en cestui chapitre aucunes choses qui pour estre bons leur affierent, quoy que à toutes gens fussent bien seans. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 83)
[2] À propos pour ce que c'est chose notable et de bon exemple, et qui à grant honneur et loz doit tourner à ceulx qui furent servans ce noble roy Charles ou fait de ses justes guerres tant haultement conduites, dont avons cy devant parlé, et grant joye aux hoirs qui ouir le pourront, c'est chose convenable, apres ce que avons devisé du seigneur comme tout se revertisse en une meismes honneur, que disions de ceulx qui le plus communement en propre personne si emploioient comme droiz fors, et de hault courage sans paour de mort, si qu'il paru à leurs faiz comme dit est. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 112)
[3] Toute bonne estoit, se me semble, Noz fortunes disions ensemble, L'ung a l'autre feablement. (RÉGN., F.A., 1432-c.1465, 163)
[4] Mais en telles ymages, quant a ce, ne a aucune difference, car se [elles] estoient tournees au contraire, nous dirions les parties estre destres que nous disions senestres, et devant ce que nous disions derriere, et desus ce que estoit desouz. (ORESME, C.M., c.1377, 310)
[5] Mais en telles ymages, quant a ce, ne a aucune difference, car se [elles] estoient tournees au contraire, nous dirions les parties estre destres que nous disions senestres, et devant ce que nous disions derriere, et desus ce que estoit desouz. (ORESME, C.M., c.1377, 310)
[6] Et est ce que nous disions que il convient faire et deussent faire ceulz qui mettent que plain est cause de pesanteur et vieu de [legiereté]. (ORESME, C.M., c.1377, 686)
[7]Item, ces choses que nous avons yci dictes s'acordent a ceque nous disions au commencement ou proheme, ou nous metionsque la fin de science politique est le tres grant bien humain,c'est a savoir, felicité. (ORESME, E.A., c.1370, 130)
[8] Et quant est a moy il n'est riens que je ne face, et que mes subgés et moy ne disions, fassions et baillons pouravoir Paix. (JUV. URS., Aud. celi, 1435, 229)
[9] Mais Gieffroy, qui estoit li plus malicieux d'eulx tous, ot doubte, pour la grant reverence que on leur portoit, qu'il n'y eüst en la gent du roy grant decevance, sy respondi en telle maniere: "Sire", dist il au roy Ysopes, "vous nous avez requis en admistié que nous vous disions la cause pour quoy nous meüsmes de noz païs et pour quoy nous sommes marchant. (Bérinus, I, c.1350-1370, 136)
[10] Atant Berinus et sa gent s'en tournerent d'une part a conseil, et Gieffroy, en qui il avoient toute leur fiance, sy leur dist: "Seigneur, jevous dy en verité que je ne sçay pas se li roys nous a fait celle demande ou pour mal ou pour bien, pour quoy je vous prye que pour riens nulle qui adviegne, vous ne me desdisiez de chose que je die, car bien sachiez que cilz respons n'est mie a gas, mais convient que nous soions bien advisé de respondre pour ce que, se nous disions verité, chascun fera sa moquerie de nous et ses gabois, et, se nous leur faisons mensonge a entendre, il le nous convient faire si bien et si adviseement que nous n'en puissions estre reprins; (Bérinus, I, c.1350-1370, 136)

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