C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de dys dans 7FMR 
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[1] et ne le dys pas pour excuser les faultes dudict connestable ne pour donner charge audictduc de Bourgongne, car audict duc tenoit grant tort. (COMM., II, 1489-1491, 91)
[2] Que malle bosse, malle poisons, maultac Et malle grayne te puisse prandre au bric, Ort, vil, villain, puant coquodrillac, Loup ravissant pour lequel je dys: gnac! (LA VIGNE, S.M., 1496, 138)
[3] Et, se tu ne fais bien et saigement ce que je te dys, je t'occieray de ma dague; (FROISS., Chron. M., c.1375-1400, 214)
[4] Si dys adonc : « Desespoir, maulvais hoste, Esloigne toy et aussi tes gens oste, Qui desja m'ont si grandement pillé Que ma vertu en est demouree froste Riens n'ont laissé sus, ne jus, ne de coste ; (MESCHIN., Lun. princes M.-G., c.1461-1465, 12)
[5] Je dys en oultre que la misericorde de Dieu, nostre souverain juge, est telle que l'une personne puet satisfaire et puet payer la debte de l'autre, voire se la personne qui satisfait est encores en ceste vie, et que l'autre soit en tel estat que elle ne se puisse ayder, et que on la puisse aydier ; (GERS., Déf., 1400, 225)
[6]Toutevoye je ne dys mye que aucunesfoys il ne fault pas estre si constant et ferme que on ne mue bien son oppinion, voire en mieulx, car sapientis est mutareconsilium in melius , et comme dit Cathon Constans et lenis, ut res expostulat, esto: temporibus mores sapiens sine crimine mutat ; (JUV. URS., Nescio, 1445, 465)
[7] Et tout ainssy qu'il disoit, l'oyseau commence plus fort a crier et dire : «O François, que dys tu ? (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 22)
[8]» Le conte Olivier respond : «Payen, sur ce que tu me demande, je te dys que Charles l'empereur est sy grant maistre qu'il n'a homme ou monde a quy il se puist comparer tant pour la valleur de sa personne, de son conseil et de ses meurs, comme de sa puissance et richesse innumerable. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 41)
[9] QUANT FIREBRAS eut beaucoup demouré sans lever pour Olivier, il s'assetta, puis dit : «Garin, je te demande que tu me dys sans celler de quelle force est Roland et Olivier, que tant sont redoubtez des payens et de quelle grandeur. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 43)
[10]» Le duc Tierry respond : «Je te dys, admiral, queCharles est preux et saige, courtoys et de bonne vie. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 90)

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