C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de gaing dans 7FMR 
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[1] Et ceulx qui le bien de vertu et le salut publique, mesmement aux entreprinses deguerre, ne veulent plus que le gaing n'y feront ja au paraller oeuvre salvable. (CHART., Q. inv., 1422, 52)
[2] C'est acertes Si au vif qu'on ne pourroit mieulx, Puis que tout y va, gaing ou pertes; (CHART., D. Rev., a.1424, 309)
[3] Telz gens suyvent au gaing et a la table,Mais en fortune ilz tournent a l'esquart. (CHART., B. Nobles, c.1424, 401)
[4] Tant est Largesce en tous cas advenant, Qui a soy plaist et a autry prouffite, Que c'est rente d'onneur bien revenant Dont l'un acquiert gaing et l'autre merite: Au preneur vault et au donneur delitte; (CHART., B. Nobles, c.1424, 405)
[5] Car tu ne sceiz quel gaing espirituel redonde de ce temporel dommage, ne quel pechié passé et couvert se tappist soubz celle justice reposte. un acquiert gaing et l'autre merite: Au preneur vault et au donneur delitte; (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 51)
[6] Et d'autres marchans, vous plevi, Faulx et mauvais assez y vi, Par couvoitise si menez Que l'avarice, ou sont donnez, Peut estre les fera ancors Perdre, se Dieu n'en a recors, Tant sont fort ahers a mal gaing ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 72)
[7] si y ot grant gaing Pour Rommains et moult dur mahaing Pour Macedonois et, adont, Phelipe paix aux Rommains moult Requist, qui a leur preu l'octroyent ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 237)
[8] Car, comme les deniers de mes petis orphelins fussent par leurs tuteurs, de mon consentement, bailliez en main de marchant reputé preudomme pour acroistre et mouteplier leur povre avoir, comme il en eust l'espace d'un an rendu convenable gaing par la moitié raisonnablement, lui tempté de l'Ennemi fist acroire qu'il avoit esté desrobez et si s'absenta et fui. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 101)
[9] Mais pour obligation d'honneur et grans privaultéz et biensfaictz, sans jamais interrompre jusques à la mort que l'un ou l'autre n'y feust, nul n'en devroit avoir meilleure souvenance que moy, et aussi pour les pertes et douleurs que j'ay receues depuis son trespas, qui est bien pour estre revenu à ma memoire les graces que j'ay receues de luy, combien que c'est chose acoustumée que, après le decès de si grand et puissant prince, les mutations soyent grandes, et y ont les ungs pertes, et les autres gaing. (COMM., I, 1489-1491, 3)
[10] Or est-il temps que je achève de declairer qui mouvoit ledict connestable, le duc de Guyenne et de ses principaulx serviteurs (veü les bons tours, secours et grans honnestetéz que ledict duc de Guyenne avoit receüz dudit duc de Bourgongne) et quel gaing povoient avoir à mectre ces deux grans princes en guerre, qui estoient en repos, et leurs seigneuries. (COMM., I, 1489-1491, 179)

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