| [1] | Se tout ce fais, tu te reposes, Si lai de toutes autres choses Dieu, nostre pere, couvenir. (MACH., C. ami, 1357, 140) | | [2] | Ensi que j'ai ja dit devant, Dou lai je ne fis plus avant Et, quant li autre ver venront Qui a ces trois s'acorderont, Lors sera acomplis et fes. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 111) | | [3] | Depuis ai je les vers rimésDou lai, ou grant plaisance avoie, Et si bien y trouvai la voie Que, Dieu merci, dedens brief jour (Tant eus je loisir et sejour, Avoec un peu d'avancement Que j'avoie en commencement), Parfis le lay a me plaisance. (FROISS., Pris. am. F., 1372-1373, 155) | | [4] | Et pour ce que cest le premier pays variant et discordant en foy et en lectres de nostre pays de ca, pour ce lai ie mis yci, afin que vous sachies la diuersite qui est contre nostre creance et la leur ; (6203, 239) | | [5] | Si ruai jus encre, papier, et plume, Voire, et de fait proposais de non tistre Jamais pour vous rondeau, lai, ou épistre, Si n'eût été, que sur cette entreprise Vint arriver (à tout sa barbe grise) Un bon vieillard, portant chère joyeuse, Confortatif, de parole amoureuse, Bien ressemblant homme de grand renom, Et s'appelait Bon Espoir par son nom : Lequel voyant cette femme tremblante, Autre que humaine (à la voir) ressemblante Vouloir ainsi mon malheur pourchasser, Fort rudement s'efforce à la chasser, En me incitant d'avoir hardi courage De besogner, et faire à ce coup rage. (R014, 178) | | [6] | Ma plume lors aura cause, et loisir Pour du loyer quelque beau lai écrire : Bon Temps adonc viendra France choisir, Labeur alors changera pleurs en rire. (R014, 259) |
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Attestation de 