| [1] | Ilz pevent bien baster autour,Car, se .M. ans fussent devant, De riens ne lui fussent grevant ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 152) | | [2] | .IX. couronnes, .VIm. livres Luy envoyent et foyson vivres, .M. chevaulx de nobles pris, Et .C. oyseaulx de proye apris ; (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 36) | | [3] | Le filz à Paris vint, et par ces lettres, certificacions et enseignes, qui moult se moustroit doulereux que son pere fust pris des Sarrazins, fist tant, quoyque le changeur y meist difficulté, que, au desrain, ot tout le dit argent, c'est assavoir, .M. frans, lesquelz il gasta, et en fist ce qu'il voult. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 71) | | [4] | -- Monsr le connestable se commença à appercevoir de ces marchéz et à avoir paour d'avoiroffence de tous costéz, craignant tousjours ceste marchandise qui avoit cuydé estre conclue contre luy à Bouvynes; (COMM., II, 1489-1491, 48) | | [5] | Monsr de Contay, qui estoit avecques moy en cest ostevent, estoit le plus esbahy du monde, et n'eust jamais creü, pour chose que on luy eust sceü dire, ce qu'il oyoit. (COMM., II, 1489-1491, 50) | | [6] | Le roy commença la parolle et luy dist: " Monsr mon cousin, vous soyez le très bien venu. (COMM., II, 1489-1491, 64) | | [7] | Monsr de Narbonne, qui au jour d'huy s'appelle monsr de Foix, ouyt ceste parolle et luy dist: " Estiez-vous si simples de penser que le duc de Bourgongne n'eust grant nombre de telz gens? (COMM., II, 1489-1491, 79) | | [8] | Monsr du Bouchaige et autres embassadeurs pressoyent fort ledict duc de tenir son seellé. (COMM., II, 1489-1491, 88) | | [9] | Monsr de Lorraine y arriva à peu de gens, dont bien luy en print depuis, car le duc de Bourgongne tenoit lors toute sa terre. (COMM., II, 1489-1491, 119) | | [10] | Mais ce mauvais conte estoit à l'huys de la chambre de bois où logeoit ledict duc et gardoit que nul n'entrast et reffusa l'uys à ceulx-là, disant: " Monsr dit que l'on s'advance de le pendre. (COMM., II, 1489-1491, 138) |
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Attestation de 