C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de marin dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] La Court a octroyé secundes lettres requisitoire de marque à Josserant Frepier et Ymbert Marin contre le roy d'Espaigne. (BAYE, I, 1400-1410, 179)
[2] Ce jour, Vincent Fatinent, pour lui et pour Nicolas, son filz, Lanfranc de Marin, François Serrat, pour lui et pour Jaques Barthelemi et Manuel, ses frères, Genenois, ont fait le serement de la paix, et ont promis ledit Vincent faire venir son dit filz, et ledit François, ses frères, et ont requis les lettres royaulz à eulz octroiées estre ceans enregistrées. (FAUQ., II, 1421-1430, 213)
[3] PRESOMPCION SEPHISE ot un nepveu qui se vouloit preferer a Phebus, et pour tant Phebus le mua en un monstre marin. (7006, 180)
[4] Cestui fut souverain clerc et moult amé du pape Martin, quart de ce nom, et lui predist moult de choses advenir et, par especial, la denegacion de l'empereur de Constantinoble et que grandes merveilles se verroient, ce que fut veu, car, le premier an de sa pappalité, fut trouvé et peschié ung poisson marin en forme et semblance d'un lion, et fut veue une merveilleuse commecte que aussi il prenostica. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 141)
[5] Richard le Neapolitain, homme moult aprecié en ce temps à Romme, predist sur la revolucion de l'an ensuyvant choses terribles et, assez tost après, l'on vit ung poisson marin, qui avoit teste de lion, qui faisoit de merveilleux plains et lamentacions, lequel fut presenté au pappe Martin. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 143)
[6] et quant à la prinse dudit cheval, après plusieurs variacions et denegacions par lui faites, et que par ledit mons. le prevost lui fu dit que se de ce ne disoit la verité, que l'en le li feroit dire, et seroit mis à question, cogneust et confessa de sa voulenté, sans aucune force ou contrainte, que, XV jours a ou environ, autrement du temps ne du jour n'est record, sinon que ce fu de nuit, que en l'estable et hostel dudit du Chemin, son maistre, de nuit, il mal print et embla icellui cheval de poil fauve, et le mena et bailla en garde, dymenche derrenierement passé ot VIIJ jours, au matin, à Marin Peterin, demourant à Courbevois, près du port de Nuilly, et oncques puis ne vit icellui Marin, ne aussi ledit cheval, qui pour lors valoit environ X frans. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 191)
[7] et quant à la prinse dudit cheval, après plusieurs variacions et denegacions par lui faites, et que par ledit mons. le prevost lui fu dit que se de ce ne disoit la verité, que l'en le li feroit dire, et seroit mis à question, cogneust et confessa de sa voulenté, sans aucune force ou contrainte, que, XV jours a ou environ, autrement du temps ne du jour n'est record, sinon que ce fu de nuit, que en l'estable et hostel dudit du Chemin, son maistre, de nuit, il mal print et embla icellui cheval de poil fauve, et le mena et bailla en garde, dymenche derrenierement passé ot VIIJ jours, au matin, à Marin Peterin, demourant à Courbevois, près du port de Nuilly, et oncques puis ne vit icellui Marin, ne aussi ledit cheval, qui pour lors valoit environ X frans. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 191)
[8] Et dist avec ce que son entente estoit de aler dymenche derrenierement passé, au matin, querre ledit cheval et païer la despence que faitte avoit en l'ostel dudit Marin, se n'eust esté ce que, le samedi precedent derrenierement passé, il fu prins et admené prisonnier ou Chastellet, pour la cause de cy-dessus dite; (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 191)
[9] Et dit que, puis la Saint-Jehan ençà, il s'est entremis de servir les couvreurs et maçons comme varlet servant, et au soir se retraïoit en l'ostel d'une sienne mere, femme Marin Loquet, couvreur de tuile, demourant en la rue des Poulies, près de la porte Barbete; (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 344)
[10] Prince marin fuyant oeuvre vilaine, Je te supplie garde que la baleine Au célerin plus ne fasse nuisance, Afin qu'on aime en cette mer mondaine Le beau Dauphin tant désiré en France. (R014, 254)

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