C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de merchandise dans 7FMR 
4 attestations 
 Page /1 

[1] Et n'est pas doubte que meilleurs en seroient les besongnes du roy et les communs prouffis, quoy qu'il semble à ceulx qui l'ont acoustumé que meismes merchandise et tous autres affaires ne puissent estre frequentées sans l'usage de menterie, laquelle chose n'est autre riens ne mais coulourer de faulceté, tricherie et barat par dire mençonges par grans sermans parjurés afermeement. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 165)
[2] Vous me rompés mes esperitz De me blasmer ma merchandise LE SOT. (Dorib., p.1480, 248)
[3] Joachim de Babillone fut en ce temps moult estimé pour la science des estoilles, par especial pour l'experience qu'il avoit ès nativités et revolucions d'icelles et en observoit plusieurs, entre lesquelles, ainsi qu'il recite, en fist deux merveilleuses à deux jeunes hommes, freres germains, l'un nommé Anileus et l'autre Asinius, Juifz et trouva que l'un et l'autre se mesleroit de naviguer, qui touttefois estoit contre l'estat et la loy des Juifz, quant pour merchandise, et que après ilz parviendroient à grande proesse et soubzmetroient plusieurs peuples à leur subjection, et disoit ce, pour ce qu'il trouvoit des estoilles fixes, qui ont nature de eslever les hommes à grande sublimité et en bref temps et souldaiment descheoir et venir à villaine mort ou mendicité, et ainsi fut, car après l'un fut empoisonné par sa femme et l'autre fut tué pouvrement par ses ennemis. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 93)
[4] Predist aussi les tribullacions qui furent en France, à l'occasion de la debillitacion desdites monnoyes, car les XXX solz n'en valoient que dix de forte monnoye, et le peuple ne povoit païer ses debtes et la merchandise ne valoit riens. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 139)

Fermer la fenêtre