C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de motz dans 7FMR 
179 attestations 
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[1] Gormandent, flatent, estudïent A rendre villains fellons motz; (CHART., D. Her., p.1415, 424)
[2] " Ces motz il disoit en tel guise, Pour ce que, par leur couvoitise, Pluseurs ot trouvez flechissans A ses dons, mains mauls machissans. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 269)
[3] Telz motz dit moult dolentement : " O vous ! (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 21)
[4] Si dit Tulles en sa Rethorique, en louant façonde et maniere de parler, que ja soit ce que un homme ne sceust dire ses motz biaulx ne polis, et il savoit les proferer gentement, de belle maniere, et par biau point, si seront ilz louéz, et s'il les dist sans ordre, quelque la matiere fust belle ne seroit ja à ouir plaisans. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 167)
[5] Et comme ilz estoient de plusieurs pièces, et non pas obeissans à ung seul, comme il est bien requis en telles assemblées, aussi eurent-ilz divers propoz, et entre les autres parolles qui furent bien recueillies et nottées, mondit seigneur de Berry, qui estoit fort jeune et n'avoit jamais veu telz exploictz, sembla par ses parolles que ja en fust ennuyé, et allegua la grande quantité de gens blesséz qu'ilavoit veu de ceulx de monsr de Charroloys, en monstrant par ses parolles en avoir pitié et usant de ces motz qu'il eust myeulx aymé que ces choses n'eussent jamais esté encommancées que de veoir desja tant de maulx venuz par luy et sa cause. (COMM., I, 1489-1491, 42)
[6] Le roy demanda à monseigneur de Charroloys ces motz: " Mon frère, m'asseurez vous? (COMM., I, 1489-1491, 75)
[7] Car, incontinent que ces deux villes furent prinses et ledict duc retourné à Arras, où il amassoit gens tant qu'il povoit, le duc de Guyenne luy envoya ung homme secret, lequel apporta trois lignes de sa main en ung loppin de cire et ploiéz bien menus, contenans ces motz: " Mectez peine de contenter vos subjectz et ne vous souciez, car vous trouverez des amys. (COMM., I, 1489-1491, 180)
[8]et, pour les mutations passées, y avoient esté mis ces motz: Avec le roy et le royaume; (COMM., I, 1489-1491, 210)
[9] Et il me dist ces motz: " J'ayme mieulx le bien du royaulme de France que monsr d'Urfé ne pense; (COMM., I, 1489-1491, 224)
[10] Bon sens leur faisoit dire ces motz; (COMM., II, 1489-1491, 5)

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