C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de paulme dans 7FMR 
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[1] Plus scet aux dez ou a la paulme; (CHART., L. Dames, 1416, 226)
[2] Ou creux de sa paulme buvoit, De Dyogenes qui le voit : Avoy, dist il, que je suis nice ! (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 204)
[3] comme il alast par un chemin, il encontra un de ces ribaulx vestus d'une roiz, qui par chemin souloient aler, qui lui demanda un denier, et, comme le Lombart l'escondisist, le ribault haulce la paulme et lui donne une grant buffe ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 75)
[4] Du surplus, selon son aige de XIIJ ans, estoit tres habille et hardy valeton, fust pour chevauchier un bien rigoureux coursier, fust a chanter ou a dansser, a jouer a la paulme, a courir, a saillir, et a tous autres essais et esbas que il veoit aux hommes faire: a tout se vouloit joieusement emploier, combien que sa personne estoit et fust tousjours linge et menu, mais son cuer estoit entre les autres tout fer et achier. (LA SALE, J.S., 1456, 2)
[5] Si advint, ainsin que fortune et amours le heurent permis, Madame venoit en sa chambre, qui en sur jour avoit mis la royne a dormir, et en passant sur les gallerees avec ces escuiers, dames et damoiselles qui aprés elle venoient, trouva le petit Saintré la qui regardoit bas en la court les joueurs de paulme jouer. (LA SALE, J.S., 1456, 6)
[6] Damp Abbés qui pour lors estoit fut filz d'un tres riche bourgois de la ville qui par dons et par prieres de seigneurs, aussi des amis de court de Romme, donna tant que son filz en fut abbés, qui de l'age de XXV ans estoit, grant de corps, fort et abille pour luictier, saillir, gecter barre, pierre, et a la paulme jouer ne trouvoit moynne, chevalier, escuyer ne bourgois quant estoit a son privé qui avenist a lui. (LA SALE, J.S., 1456, 244)
[7] ma dame," dist il, "vous savez que onques je ne fus luicteur, et cesseigneurs moynnes en sont les maistres, aussi de jouer a la paulme, gecter barres, pierres et paulz de fer, et tous autres essais quant ilz sont a leur privé, et pour ce je sçay bien, ma dame, que contre lui je ne pourroye riens. (LA SALE, J.S., 1456, 279)
[8]" Lors la prent par le touppet de son atour, haussa la paulme pour ly donner une coupple de soufflez, mais a cop se retint, aiant memoire des grans biens qu'elle lui avoit faiz, et qu'il en pourroit estre blasmez; (LA SALE, J.S., 1456, 296)
[9] Sa, ceste paulme! (Path. D., c.1456-1469, 58)
[10] Et si n'auroient ne croix ne pille, El trouvent Martin ou Guillaume Qui souvent leur fourre la paulme, Et puis s'en vont peu que ne dy. (P. Jouh. D.R., a.1488, 33)

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