| [1] | La son saoul la bati d'un aulne, Devant chacun, et de la paume, Pour ce que elle ne vouloit, Pour lui, faire ce qu'il ne loit Faire a quelconques preude femme, Et si n'a renom de diffame. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 38) | | [2] | Et science de Rethorique Ressemble a la paume publique, Pour ce que elle les estend, Ainsi com la paume s'estend. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 130) | | [3] | Et science de Rethorique Ressemble a la paume publique, Pour ce que elle les estend, Ainsi com la paume s'estend. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 130) | | [4] | Un anel tenoit en sa paume, Qui vertu ot d'enchantement Tout deffaire en un seul moment. (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 43) | | [5] | la paume haulsa Et le fery, dont dolent fu ; enchantement Tout deffaire en un seul moment. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 63) | | [6] | " -- "Or ça, mon ami, je veul que vous aiez deux autres robes, dont l'une sera de fine brunecte de Saint Lo, qui sera fourree de martres,et l'autre sera d'un fin gris de Monstierviller, qui sera doublé d'un fin blanchet, pour vestir a tous les jours fors quant vous chevaucherez aprés monseigneur le roy, et si avrez deux chapperons, l'un d'escarlacte, l'autre noir, et si avrez encores un pourpoint de satin bleu, et deux autres paires de fines chausses, couvrechiez, chemises, soulers, patins et autres choses necessaires, aussi que vous jouez et esbatez de foiz a foiz a la paume, avoir des ars, des fleiches, qui sont jeux honnestes et dont les corps par raison en vaillent mieulz. (LA SALE, J.S., 1456, 58) | | [7] | A messire Gadifer de La Sale, chevalier, auquel mon dit seigneur les avoit perduz estant au jeu de Paume, par mandement de Monseigneur et quittance du dit messire Gadifer, donnée le XXIIe de novembre XXXI franz. (6205, 323) | | [8] | Et pour ce que ledit homme se disoit estre au conte de Savoie, ledit de Cessieres ly demanda se il en vouloit avoir le double, lequel ne respondi rien et se frappa de sa paume ou front, et à tant se parti hastivement. (BAYE, I, 1400-1410, 5) | | [9] | Cedit jour, après ce que par la Court, ou m. N. d'Orgemont et J. Accart, commiz à ce, le graphierpresent, fust avisié que les sieges et bancs et porches de la Chambre du Parlement estoient vielx, derompus, et moult malhonestes, et aussy malaisez et trop bas d'environ pleinne paume ou demi piet, pour quoy l'en ne povoit entendre les advocas si bien qu'il apartenoit, et pour ce eust esté fait marchié à Guillaume Cyrace, par la maniere qu'est contenu en la fin du Conseil de ceste année, bourgoiz et hucher à Paris, pour le priz de IJc escus qu'il en doit avoir, parmi ce qu'il rendra tout prest et assiz à ses despens hors ferreures dedans la Toussaint prouchain venant, et ce a promiz en la main du graphier, ycelle Court a ledit marchié approuvé, et ordonné que . (BAYE, I, 1400-1410, 154) | | [10] | Petit vit et pou pendant, petiz coullons et serrez, le ventre aligné pres des riebles come lamproye, les cuisses grosses et carrees comme lievre, les jarrez droiz et non pas courbes comme un buef, la queue de rat, faisant un pou d'anel au bout et non pas trop haute, les deux os de l'eschine darriere larges de plaine paume ou plus. (GAST. PHÉBUS, Livre chasse T., 1387-1389, 129) |
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Attestation de 