C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de piece dans 7FMR 
463 attestations 
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[1] Je suy comme la tour minee, Dont la prise n'est pas finee De longue piece, Et de qui on doubte qu'el chiece Ou qu'a ceulx de dedens meschiece; (CHART., L. Dames, 1416, 262)
[2] Se tu veulx pour la chose publique faire loyal devoir, ton povoir est petit et ton travail sera en vain, quant presque tous comme chose juree tirent de toutes pars a la descirer et destruire, et que chacun en arrache et emporte sa piece sans contredit, et fait son fardel pour s'en aler. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 12)
[3] Mais, si comme il est recité, Le nautonnier grant piece tut Et, comme tout pensif estut, Le roy luy demande qu'il voit ? (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 232)
[4] A eulx assembla le consule La grant piece, ains que nul recule. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 15)
[5] Au propos dessus dit de ce qui s'entuit du fait de convoitise, dist Salemon en ses Proverbes cy dessus allegué, que mieulx vault la petite piece de pain seiche à joye et paix que la maison plaine de richesses à noise et contens. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 152)
[6] Mais de leurs facons plus descripreMe passeray, car ailleurs tire, Et de dire en piece assouvi N'aray les merveilles que y vi. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 97)
[7] après lequel une piece avec ses barons et chevaliers s'esbatoit, puis se retraioit et aloit reposer. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 48)
[8] dont, après ce qu'il ot esté une piece en prison, le roy, de sa debonnaireté, le delivra, parce qu'il promist estre bon françois, et le fist le roy son chambelan et assez de bien et d'onneur lui fist ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 87)
[9] On doit mettre enseignes et banieres aux chastiaulx, et se [l'ost ne] doit demeurer grant piece ou lieu, où il se loge, besoing n'est de faire si grant edifiement ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 211)
[10] neantmoins, cellui propre jour fu devant le roy, lisant longue piece par autel semblant et chiere, ne plus ne moins comme acoustumé avoit, dont le sage roy, qui la vertu de toutes choses estoit considerant, comme il sceust le cas, moult l'en prisa, et telz paroles dist de lui en son absence : «Se cest homme n'avoit ferme vertu et plus grant que nature ne l'influe communement es hommes, la pitié paternele ne lui souffriroit couvrir son cas soubz telle coustance. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 63)

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