C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de pieche dans 7FMR 
2 attestations 
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[1] Qant casquns ot pris pieche de terre pour logier, li signeur se traissent ensamble pour avoir consel conment ils se poroient maintenir ne trouver la trace des Escos, lesquels il desiroient au veoir et a combatre. (FROISS., Chron. D., p.1400, 130)
[2] laquelle dame, tant pour elle que comme procurateur de son dict mari et au proffit de Jehan de Bethencourt son filz et son heritier, recongnut avoir baillé fieffe à fin d'heritage perpetuel et du tout en tout delaissé à Guillaume de Vaux une pieche de terre et masure vuide assise en la paroisse de Grainville si comme elle se pourporte de long en large jouxte le dict Guillaume d'un costé et d'ung bout a la rue du moustier, et d'autre bout au ruissel de Torton, pour la somme et nombre de cinq solz et ung cappon de rente par an, pour toutes rentes, a paier les cinq solz à la Sainct Michel et le cappon à Noel, à tenir, avoir et par droict heritage posseder au dict Guilleume et à ses hoirs la dicte fieffe bien franchement et quittement par la rente dessus declarée. (6205, 324)
[3] ITEM, dist que quant il eut esté une pieche par-delà avec les Englès et avec mons. Wuillaume de Gommegnies, à cuy il dist estre freres bastars, il s'en parti par leur congié, et leur promist à venir par-dechà pour adviser le fait du roy, que on disoit qu'il metoit sur grant nombre de gens d'armes pour aler en Engleterre ou ailleurs, et devoit adviser tout à son pooir, et savoir, s'il pooit, quel voïaige le roy vouloit faire, et où il vouloit emploïer et envoïer ou mener ses gens d'armes, ou [en] Engleterre, ou en Espaignie; (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 387)

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