C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de playes dans 7FMR 
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[1] Quantes mortelles afflictions et playes intollerables soustint le royaume d'Escosse par plusieurs annees, ou temps de Robert de Bruz roy dez Escotz, ce te pourront reciter telz qui encor vivent. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 142)
[2] Aussi de bons en y a maint, Par eulx croy que le mal remaint, Que Dieux au monde envoyeroit, Qui par Deluge noyeroit Le siecle, comme il fist jadis, Ou aussi comme il fist par .X. Playes la grant terre d'Egipte, Dont maint furent de mort subite Mort par la divine vengeance, Ou, sanz ja avoir allegence, Seroit le monde confondu, Mais par les bons est deffendu, Si com jadis eussent esté Les .V. citez, ou honesté Ne fu trouvé en un seul homme, Pour ce, la cité de SodomeEt les autres .IIII. citez Plaines de grans iniquitez Fondirent, pour les grans pechiez, Dont tous estoient entechiez; (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 151)
[3] en son temps fut Egipte frappee des ! .X. playes et les filz de Israel delivrez d'Egipte, et ! la loy donnee au peuple dit. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 157)
[4] La les princes se combatoient Et avant eulx tout abatoient De karreaulx, de trait ou de fondes,Dont quanqu'ilz attaignoient, parfondes Playes faisoient et mortelles ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 179)
[5] Leur playes fist assouagier. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 300)
[6] Or est-il bien à penser que telles playes ne viennent que par la divine justice. (COMM., II, 1489-1491, 231)
[7] Or est-il bien à penser que telles playes ne viennent que par la divine justice. (COMM., II, 1489-1491, 231)
[8] Cestui Crispinus fut porté morir a Romme, de ses playes, par lamort duquel les Rommains furent tresesbahis, tant pour l'amour des deuxostz qui estoient sans cappitaines, dont il estoit grant peril, commepour les nouvelles qui estoient venues de Galles, que Hasdrubalpassoit les Alpes a tant de gens d'armes qu'il n'estoit nombre. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 39)
[9] Laquelle testefut congneue, et non de tous pour les playes qu'elle avoit. (LA SALE, Salade, c.1442-1444, 45)
[10] Baiser vous veulx, las, tout atrest, En grant regré, Et en destret, -- et voz playes acoler veulx! (Pass. Auv., 1477, 257)

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