C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quictent dans 7FMR 
4 attestations 
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[1] desquelles trente livres paris. lesdiz bailleurs confessent que lesdiz preneurs auroient mis et faict mectre et employer du leur en l'admendement et melioracion de ladicte maison et appartenances la somme de vingt cinq livres dix huict solz paris., aux us et coustume de la ville deParis, et tout en la forme et maniere que iceulx preneurs les avoient promis de mectre en ladicte maison et appartenances, et s'en tindrent pour contens et bien agreez, et quicterent et quictent a tousjours lesdiz preneurs et leurs hoirs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 272)
[2] Lesquelles quatre livres paris. de rente annuelle et perpetuelle constituees sur la maison dessus declairee, ensemble tous les drois de gaigerie, percepcion, saisine, possession et autres, et toutes les accions et poursuites que a cause d'icelles lesdiz mariez avoient et pouoient avoir a l'encontre de quelconques personnes et biens a cause de ce, yceulx mariez, de leurs bons grez, bonnes voulentez et certaines sciences, pour leur prouffit faire et leurs besongnes en mieulx reformer, eulx sur ce bien conseillez et deliberez, sicomme ilz disoient, recongnurent et confesserent avoir venduz, cedez, transportez et delaissez, vendent, cedent, transportent et delaissent, promis et encores promectent, chascun d'eulx pour le tout, garantir, delivrer et deffendre de tous troubles, lectres, debtes, obligacions, ypotheques et autres empeschemens quelzconques, a Martine la Thierrye, merciere et bourgoise de Paris, acheteresse pour elle, ses hoirs, successeurs et aians cause ou temps a venir, ceste vente faicte pour le pris et somme de cinquante six livres tourn., monnoye courant a present, que lesdiz vendeurs en confesserent avoir eue et receue de ladicte acheteresse en cinquante six frans d'or, et s'en tindrent ettiennent pour contens et bien paiez, et en quitterent et quictent par ces presentes a tousjours ladicte acheteresse, ses hoirs et aians cause et tous autres. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 407)
[3] lesquiex mariez, de leurs bons grez, bonnes voulentez, propres mouvemens et de leurs certaines sciences et pour leur cler et evident prouffit, siconme ilz disoient, recongnurent et confesserent pardevant les diz notaires conme pardevant nous en droit avoir vendu, cedé, quictié, transporté et delaissé, et par la teneur de ces presentes lettres vendent, cedent, quictent, transportent et delaissent, desmaintenant a tousjours, perpetuelment et heritablement, et promistrent, chascun pour le tout, garantir, delivrer et deffendre envers et contre tous, en jugement et hors, de touz troubles, dettes, obligacions, arrerages, ypotheques, contreplaiges, engaigemens et de tous autres empeschemens quelconques, toutes foiz que mestier en sera, a Oudin Blanchart, huchier, demourant a Paris, et Belon, sa femme, pour eulx, leurs hoirs et pour leurs aians cause ou temps a venir, une maison, siconme elle se comporte,haut, bas, devant, derriere, avecques toutes ses appartenances et appendances, que ilz se disoient avoir, tenir et possider du propre heritage de la dite Ysabel, seant a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant, d'une part, a Jehanne de Bray et, d'autre part, a Jehan Lescot, aboutissant par derriere aux diz vendeurs, en la censive des religieux de Saint Magloire a Paris, chargiee en soixante solz par. de croix de cens ou rente annuelle et perpetuelle pour toutes charges quelconques, ceste vente faite pour et parmi dix huit livres tournoiz, franc d'or pour vint solz tourn., que les diz vendeurs en confesserent avoir eu et receu des diz acheteurs, dont ilz se tindrent a bien paiez, contens et agreés par devant les diz notaires ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 548)
[4] et sur ce avoient composé et acordé aux diz religieux par la forme et maniere qui s'ensuit, c'est assavoir que les diz religieux, en obtemperant a leur requeste, avoient et ont amorti les deux pars des dictes quatre livres paris. au prouffit de la dicte excecussion, parmi ce que les diz excecuteurs leur avoient promis transporter et delaissier a tousjours le tiers des dictes quatre livres paris. de rente qui monte vint six solz huit deniers paris. Les quielx excecuteurs, voulans enteriner leurs proumesses, de leurs bons grez, bonnes voulentés, propres mouvemens et certaines sciences, sans aucune force, fraude, erreur, seducion, contrainte ou decevance, pour le cler et evident prouffit de la dicte excecucion, reconnurent et confesserent par devant les diz noctaires avoir transporté, quictié et delaissié, et par la teneur de ces presentes lectres transportent, quictent et delaissent, desmaintenant a tousjours perpetuelment et heritablement, et promistrent garentir, delivrer et deffandre aux propres couz et despens des biens appartenans au fait de ladicte excecucion envers et contre tous, en jugement et hors, toutes fois et quantes que mestier sera, de tous troubles, debtes, obligacions, ypotheques et autres empechemens quelconques, aux diz religieux abbé et couvent de Saint Magloire, pour et au prouffit de ladicte esglise et des aians cause d'icelle ou temps a venir, le tiers des dictes quatre livres paris. de rente qui monte vint six soubz huit deniers paris., ce transport fait moyennant et parmi ce que iceulx religieux ont amorti au prouffit de ladicte excecucion le seurplus des dictes quatre livres paris. de rente ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 764)

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