C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quicterent dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] le dit messire Moreau apres ce que aparu lui fut les lettres de vendition et transport de la dite terre et seigneurie de Grainville, et aussi de la quictance des dits IIm livres du dit reste de la dite vendition, laquelle quictance fut passée l'an mil CCCC et XII, le XIIe jour d'avril, à Tolecte, et le paiement avoir esté faict l'an mil CCCC et cinq, comme par icelle quictance apparoit, se desista et departi du tout de la proprieté, possession et saisine des chastel, terre, seigneuries et revenues du dit lieu de Grainville, et aussi quicta bonnement et à tousjours le dit de Rouville, sa dicte femme et tous autres à leur droit de toutes choses generalement quelconques dont il leur eust peu faire action et demande, pour raison du louage de la dicte terre de Grainville que le dit messire Robert de Braquemont avoit tenue à louage du dit feu messire Jehan par certain temps passé, pour ce que il lui est apparu deuement, par comptes et quictances des paiemens et solutions de ce fais tant en Espaigne, à Tollecte que ailleurs, et par ce aussi que les dits sieur de Rouville et sa dite femme quicterent le dit messire Moreau de tout ce que ils pourroient demander au dit messire Moreau pour argent receu en Espaigne ou ailleurs des revenues des tentes et benefices d'Espaiges, de barges, gallées, abillemens de guerre ou autrement eu devant du jour d'uy. (6205, 480)
[2] et d'ycellui pris de trente livres paris. dessus dit et de toute ladicte vente il quicterent a touz jours les diz acheteurs et leurs hoirs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 126)
[3] desquelles trente livres paris. lesdiz bailleurs confessent que lesdiz preneurs auroient mis et faict mectre et employer du leur en l'admendement et melioracion de ladicte maison et appartenances la somme de vingt cinq livres dix huict solz paris., aux us et coustume de la ville deParis, et tout en la forme et maniere que iceulx preneurs les avoient promis de mectre en ladicte maison et appartenances, et s'en tindrent pour contens et bien agreez, et quicterent et quictent a tousjours lesdiz preneurs et leurs hoirs ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 272)
[4] et recognurent et confesserent, de leurs bonnes volentez, sanz force ou contrainte, eulz avoir baillié et eschangé, et par nom et tiltre de pur et vray eschange fait but a but sanz aucunes soltes ottroié, quitté, cedé et deleissié, desorendroit a touz jours perpetuelment et heritablement, et promis a garantir, delivrer et deffendre, chascun pour le tout, de touz empeschemens quelconques, a religieuses personnes et honnestes le couvent de l'eglise Saint Magloire de Paris, pour eulz et leurs successeurs en ladite eglise, douze solz six deniers par. de crois de cens ou rente que yceux mariez se disoient avoir et prenre paisiblement, de leur propre conquest, chascun an egalment par les quatre termes a Paris accoustumez, tantost aprés soixante solz par. de rente, en et sur une maison qui est Jehan de Libourt et qui paravant fu Michiel le Dessier, seant a Paris, en la grant rue Saint Denis, tenant, d'une part, audit Jehan et, d'autre part, a Nicolas de Reins, barbier, aboutissant aus diz religieus, en la censive d'iceux religieus, c'est assavoir cest eschange fait but a but sanz aucunes soltes, comme dit est, pour et en lieu de onze solz par. de crois de cens ou rente que ledit couvent avoit et prenoit, chascun an par les diz quatre termes, sur une maison qui est des diz mariez et qui jadiz fu Jehan Malefouee, seant a Paris, ou Bourc l'Abbé, tenant, d'une part, a Huguenin le Chien et, d'autre part, a Symon le Lombart, en la censive dessus dite, que le dit couvent leur en avoit bailliez, et avec ce leur avoit quictié les arrerages que pour cause d'iceux onze solz par. il leur povoient devoir, dont yceux mariez se tindrent a bien paiez, et en quicterent a touz jours ledit couvent et touz autres ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 327)
[5] et s'en tindrent a bien paiez et en quicterent et quitte clamerent a tousjours, bonnement et absolument, lesdiz achetteurs, leurs biens, leurs hoirs, et tous autres a qui quittance en appartient, peut et doit appartenir, pardevant nous ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 459)
[6] lesquelz mariez, de leurs bons grez, bonnes volentez et certaines sciences, sans fraude, sur ce bien pourveuz et conseillez, si comme ilz disoient, recongnurent et confesserent avoir vendu, cedé, quictié, transporté et delessié a tous jours perpetuellement et promis a garantir, chascun pour le tout, envers touz et contre touz, de tous troubles, debtes, obligacions, arrerages et autres empeschemens quelconques, en jugement et dehors, toutes et quante fois que mestier sera, a Nicolas Ploier dit de Fribourc, orfevre et bourgois de Paris, et a Perrenelle, sa femme, pour eulx, pour leurs hoirs et pour leurs aians cause, une maison et une petite court, si comme tout se comporte, hault et bas, en lonc, en lé, devant et derrieres, avecques toutes ses veues, agouz, aisances, adjacenses et appartenances quelconques, qu'il se disoient avoir de leur conquest, assise a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant d'une part et d'autre aux diz achecteurs, aboutissant par derrieres a Pierre Brugadel, en la censivedes religieux de Saint Magloire de Paris, chargiee en soixante deux solz parisis que de fons de terre que de crois de cens ou rente par an pour toutes chargez, ceste vente faicte pour le pris de dix huit livres, franc d'or pour vint solz t., que lesdiz vendeurs en confesserent avoir euz et receuz des diz achecteurs, et s'en tindrent a bien paiez et en quicterent lesdiz achecteurs et tous autres a qui quictance en puet et doit appartenir ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 477)
[7] et en quicterent les diz acheteurs, leurs hoirs et aians cause et tous autres a qui quictance en pourroit et devroit appartenir, en transportant, quictant et delaissent aus diz acheteurs, a leurs hoirs et aians cause, touz les droiz de proprieté, possession, saisine, et tous autres droiz quelconques que ilz avoient et povoient avoir, demander ou reclamer en la dite maison et appartenances ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 549)
[8] lesquels, de leurs bons gres, bonnes volentés, sans force, fraude, erreur, contrainte ou decevance aucune, recognurent et confesserent avoir vendu, quicté, cessé, octroié, transporté et delaissé, desorendroit a tous jours mais, perpetuelment et heritablement, et promis chascun pour le tout garantir, delivrer et deffendre envers et contre tous, a leurs cous et despens, de tous troubles, debtes, obligacions, ypotheques et de autres empeschemens quelconques, a Jehan du Hamel, chappellier, et a Agnés, safemme, bourgois de Paris, pour euls, leurs hoirs, et aians cause, vint sols par. de crois de cens ou rente annuel et perpetuel que les dis vendeurs se disoient avoir et prendre, chascun an egalment par les quatre termes generalment acoustumez, du conquest du dit Guillaume, en et sur une maison et jardin, sicomme tout se comporte et extent de toutes pars, assis a Paris, en la rue du Bourc l'Abbé, tenant, d'une part, aus hoirs ou aians cause de Jehan l'Advocat et, d'autre part, a l'ensaigne de la Corne de Cerf qui est Marcelet Sterinc, aboutissant parderriere au jardin d'un hostel ou est et pent l'ensaigne du Chauderon, en la rue de Huleu, en la censive des religieux de Saint Magloire de Paris, ycelle maison franche et quicte de tous cens, rentes et redevances quelconques, ceste vente faite pour et parmi le pris de quatorze frans d'or que les dis vendeurs en confesserent avoir eu et receu des dis acheteurs, et qui baillés leur furent en la presence des dis notaires, et dont ilz se tindrent pour contens et agreés, et les en quicterent et tous autres ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 575)
[9] et en quicterent et quictes clamerent bonnement, a touz jours, sanz rappel, ledit acheteur, ses hoirs et tous autres a qui quictance en pourroit appartenir ou temps a venir. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 745)
[10] Lesquelz de leurs bons grez, eulx non contrains a ce mais pour les cler et evident prouffit de la dicte eglise, recongnurent et confesserent avoir baillié, cedé, ottroyé, transporté et delessé, et par la teneur de ces presentes baillent, cedent, ottroyent, transportent et delessent, promirent et promectent garandir, delivrer et deffendre envers et contre tous, en jugement et hors, de tous troubles et empeschemens quelzconques a Simon Coutant, pour ce present en sa propre personne pardevant les diz notaires, qui aussy confessa avoir pris et retenu et par ces mesmes presentes prent et retient pour lui, ses hoirs et ayans cause, des maintenant a tousjours senz rappel, desdiz religieux pour et ou nom de ladicte eglise, une maison ou hostel, avecques un quartier de vigne assis derrieres ledit hostel, appartenant a ladicte eglise, ainsy que tout se comporte, assis a Mons sur Ourge, tout chargié en deux quartes de vin en vendanges, en une geline et autres charges et devoirs d'avoine et deniers paiez chascun an d'ancienneté a yceulx religieux, ces presens bail, transport et prise fais moyennant et parmi le pris et somme de soixante six escus a la couronne de dix huit solz par. piece, pour une foiz, que lesdiz religieux en confesserent avoir euz et receuz dudit Simon, dont ilz se tindrent pour bien contens et agreez, presens lesdiz notaires, et en quicterent a tousjours le dit Simon, ses hoirs et ayans cause et tous autres a qui quittance en povoit ou pourroit et devroit competer et appartenir, et parmi ce aussi que ycellui Simon sera tenuz et promist paier et acquicter envers lesdiz religieux, chascun an doresenavant aux terme ou termes a ce acoustumez, les charges que doivent d'ancienneté l'ostel et vigne dessus declerez ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 789)

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