C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de quittent dans 7FMR 
3 attestations 
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[1] Savoir faisons que par devant Nicolas Robin et Jehan de la Croix, clers notaires jurez du roy nostre dit seigneur, de par lui establis ou Chastellet de Paris, furent personnelment establiz honorables et discretes personnes maistre Guybert de Salset, maistre en medecine et chancelier de l'eglise SaintGermain l'Auxerrois a Paris, et maistre François Omo, chanoine de l'eglise Saincte Opportune a Paris, ou nom et comme executeurs du testament ou ordonnance de derreniere voulenté de feu honorable homme et saige maistre Hugues Tenoillet, de Chasteau Girart, prestre, jadiz chevecier de la dicte eglise de Saincte Opportune, sicomme il est apparu aux diz notaires par certaines lettres de testament passees et accordees par ledit feu maistre Hugues et signees, sicomme il apparoit, du saing de messire Guillaume du Brueil, notaire apostolique, lors fermier de la cure de la dicte eglise de Saincte Opportune, qui ainsy se commencent : Par lesquelles lettres de testament, le dit feu maistre Hugues, en desclairant sa derreniere voulenté, dist que il laissoit a l'eglise de Saint Magloire de Paris vingt solz par. de rente que il prenoit chascun an et avoit acoustumé a prenre en la grant rue Saint Denis, en et sur une maison ou pent l'ensengne Saincte Katherine, parmi ce que les religieux d'icelle eglise seront tenuz de dire ou faire dire perpetuelment, chascun an, une messe solempnelle des trespassez pour les ames de lui et de ses amis trespassez, et le faire escripre ou matreloge ou livre d'icelle eglise en maniere d'anniversaire, sicomme ilest plus a plain contenu et desclairé en une clause que les diz notaires ont veue escripte entre les autres es dictes lettres de testament, qui tele est : Et pour ce, les diz executeurs, desirans acomplir les dictes lettres de testament et descharger l'ame dudit deffunct meesmement en tant qu'il touche et puet touchier le laiz contenu en la dicte clause, de leurs bonnes voulentez, sanz aucune fraude, force, erreur, contrainte ou decevance, ou nom executoire dessus dit, cederent et transporterent et par la teneur de ces presentes lettres cedent, transportent, quittent et delaissent et delivrent a tousjours, perpetuelement et hereditablement, aux diz religieux de Saint Magloire, pour eulz et leurs successeurs religieux de la dicte eglise, les vint solz par. de rente dessus diz dont la dicte clause fait mencion, pour les avoir, prendre, gaigier, lever, recevoir et percevoir doresenavant a tousjours perpetuelment chascun an, sanz contredit, par les diz religieux, leurs diz successeurs religieux d'icelle eglise, ou par le porteur de ces lettres, en la fourme et maniere et pour les causes et condicions plus a plain desclairees en la dicte clause. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 531)
[2] Et laquelle somme de mil livres tourn. yceulx monseigneur l'abbé et religieux confesserent avoir eue et receue du dit maistre Martin et s'en tindrent a bien contens et paiez, et en quitterent et quittent a tousjours le dit maistre Martin, ses biens et ses hoirs ou aians cause ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 784)
[3] et aussi confesserent avoir eu et receu du dit maistre Martin chasubles, nappes, vestemens, galice, autel portatif et autres choses neccessaires pour le dit divin service estre fait, et s'en sont tenuz et tiennent pour contens, et en quittent pareillement le dit maistre Martin et tous autres. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 784)

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