C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de reluise dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] Et qui vise Au firmament qui reluise, Et le prise, La preuve est la toute quise De son infinie puissance. (CHART., L. Esp., c.1429-1430, 37)
[2] Si semble que leur fait reluise Et que bien et bel leur aduise Trestout quan qu'il leur plaist a faire. (CHR. PIZ., M.F., I, 1400-1403, 87)
[3] Et Tulle ou livre des Offices Recorde aussi ces moz propices : Comme il soit ainsi, ce dit il, Que la vertu noble et gentil De justice es larrons reluise, Quant entr'eulx tel droit leur aduise Que leurs despouilles ilz departent Egaument et les s'entrepartent : Par plus fort raison le prince estre Doit vray justicier en tout estre, Qui la chose publique garde Et du commun corps a la garde. (CHR. PIZ., Chem. estude P., 1402-1403, 246)
[4] Que migraine de laine plate Ne reluise de telle maniere. propices : Comme il soit ainsi, ce dit il, Que la vertu noble et gentil De justice es larrons reluise, Quant entr'eulx tel droit leur aduise Que leurs despouilles ilz departent Egaument et les s'entrepartent : Par plus fort raison le prince estre Doit vray justicier en tout estre, Qui la chose publique garde Et du commun corps a la garde. (Rapp., c.1480, 62)
[5] Puis fault la voulenté estre separee de toute charnalité et de vilains et ors desirs, affin qu'en ceste trinité reluise purement la Trinité divine. (GERS., Trin., 1402, 172)
[6] Pour ce dist Boece ou livre de la Discipline des escoliers : «Quiconque desire a poursievir l'office de maistre, il couvient qu'il reluise de toute honnesteté de meurs, c'est qu'il soit constant enviaire, doulx en affection, noble de virtus, loable en bonté». (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 14)
[7] Aucune fois aussi l'omme s'esjoïst pour la dignité ou aussi multitude des auditeurs, selonc le dit de Quintiliien en son premier livre : «Chaschun tres bonmaistre se repute digne d'estre en grant place et d'avoir grant nombre de auditeurs», et n'est pas merveille, car comme dist Boece : «Il n'est quelque bien qui ne reluise plus plaisamment quant il est approuvé par la congnoissance de plusieurs». . (DAUDIN, De la erudition H., c.1360-1380, 19)
[8] Pour ce y devez totallement resister et remedier, en abaissant la desordonnée presumpcion et detravée arrogance desdicts ignorans et, comme il soit que vous aymez naturellement toute vertu et science et mesmement la science de astrologie, comme celle où plus reluise la gloire et infinie puissance de Dieu, comme tesmoigne le Psalmiste: " Celi enarrant gloriam Dei " et laquelle matiere, quant là viendroit, requeroit bien l'advis et (Fol. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 6)

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