C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de retirast dans 7FMR 
9 attestations 
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[1] Tellement se porta leur discord qu'il faillut que le duc de Bretaigne, pour craincte de sa personne, se retirast au mont Saincte Katherine, près Rouen, et fut leur question jusques là que les gens du duc de Normandie avec ceulx de la ville de Rouen furent prestz à aller assaillir ledict duc de Bretaigne jusques au lieu dessusdict, par quoy fut contrainct de se retirer le droit chemin vers Bretaigne. (COMM., I, 1489-1491, 89)
[2]mais aussi, si le lieu n'estoit fort, qu'il se retirast devers luy, car le chemin estoit trop mal aisé pour le secourir, pour ce que en ce quartier là sont tous rochiers. (COMM., I, 1489-1491, 112)
[3] Quant le conte de Warvic vint devant Callaix, esperant y entrer comme en son principal reffuge, monsr de Vaneloc, qui estoit très saige, luy manda que, s'il y entroit, qu'il estoit perdu, car il avoit toute Angleterre contre luy et aussi le duc de Bourgongne et que le peuple de la ville de Callaix seroit contre luy et plusieurs de la garnyson, comme monsr de Duras, qui estoit mareschal pour le roy d'Angleterre, et plusieurs autres, qui tous avoient gens en la ville, et que le meilleur pour luy estoit qu'il se retirast en France; (COMM., I, 1489-1491, 196)
[4] Ce qui fist faire cest exploit audit duc fut de peur qu'elle ne se retirast devers le roy son frère, disant que pour secourir la maison de Savoye luy estoit advenu tout ce mal. (COMM., II, 1489-1491, 123)
[5] Au plustost que ladicte duchesse se trouva à Rouvre, comme j'ay dit, accompaignée de toutes ses femmes et largement serviteurs, et qu'elle veït ledit duc bien empesché à rassembler gens, et que ceulx qui la gardoyent n'avoyent pas la craincte de leur maistre, qu'ilz avoient acoustuméd'avoir, elle se delibera de envoyer devers le roy son frère pour traicter appoinctement et pour supplier qu'il la retirast. (COMM., II, 1489-1491, 124)
[6] Là fut l'oppinion de plusieurs que il se retirast au Pont-à-Mousson, près de là, et laissast de ses gens ès places qu'il tenoit environ Nancy, disans que, dès ce que les Allemans auroient avitaillé Nancy, s'en iroyent et seroit l'argent failly au duc de Lorraine, qui de long temps ne rassembleroit tant de gens; (COMM., II, 1489-1491, 150)
[7] à l'arrivée du conte de Compobasche vers le duc de Lorraine, les Allemans luy feïrent dire que il se retirast et qu'ilz ne vouloient nulz trahistres avecques eulx. (COMM., II, 1489-1491, 151)
[8] Ce qui fist faire cest exploit audit duc fut de peur qu'elle ne se retirast devers le roy son frère, disant que pour secourir la maison de Savoye luy estoit advenu tout ce mal. (COMM., II, 1489-1491, 123)
[9] Au plustost que ladicte duchesse se trouva à Rouvre, comme j'ay dit, accompaignée de toutes ses femmes et largement serviteurs, et qu'elle veït ledit duc bien empesché à rassembler gens, et que ceulx qui la gardoyent n'avoyent pas la craincte de leur maistre, qu'ilz avoient acoustuméd'avoir, elle se delibera de envoyer devers le roy son frère pour traicter appoinctement et pour supplier qu'il la retirast. (COMM., II, 1489-1491, 124)
[10] Là fut l'oppinion de plusieurs que il se retirast au Pont-à-Mousson, près de là, et laissast de ses gens ès places qu'il tenoit environ Nancy, disans que, dès ce que les Allemans auroient avitaillé Nancy, s'en iroyent et seroit l'argent failly au duc de Lorraine, qui de long temps ne rassembleroit tant de gens; (COMM., II, 1489-1491, 150)

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