C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de retirerent dans 7FMR 
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[1] Et les Allemans, Espaignolz et Napolitains contraires au roy qui resterent du dit assault se retirerent dedens le dict chasteau. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 251)
[2] Et les Lombars, a qui trop empira, Semblablement entre eulx se retirerent, Ne plus avant celuy jour ne tirerent. (LA VIGNE, V.N., p.1495, 280)
[3] Pourquoy ilz furent fiers et se retirerent ensemble, pas pour pas, jucques àla barrière, et là se tournerent vers le Jouvencel et dirent en eulx-meismes: " N'y a il que cecy? (BUEIL, I, 1461-1466, 138)
[4] Et, quant ilz eurent chevauché jusques à la veue de la ville en l'ordonnance que vous avez ouye, les ennemiz, qui estoient devant la porte de Bonne-Grace, se retirerent à leurs gens et n'oserent attendre le conte de Parvanchières et ses batailles, pour ce que bonnement leurs gens ne les povoient secourrir. (BUEIL, I, 1461-1466, 189)
[5] et se retirerent ensemble. (BUEIL, II, 1461-1466, 117)
[6] et tous se retirerent pareillement. (BUEIL, II, 1461-1466, 136)
[7] Et, sur ce, les gens du roy Amydas et du Jouvencel meisme font une charge à l'autre bout des champs, et y eut si grant hu et si grant cry, tellement qu'ilz se retirerent droit à la ville. (BUEIL, II, 1461-1466, 238)
[8] Et Talbot se retira à Verneil à toute dilligence, et les baillifz de Rouen et de Gisors se retirerent droit à Rouen. y eut si grant hu et si grant cry, tellement qu'ilz se retirerent droit à la ville. (TRING., c.1477-1483, 292)
[9] Et, incontinent qu'ilz furent ainsi montez que dit est, près de partir et singler en mer, lesdiz Bourguignons, Anglois, Picars et autres, voians qu'ilz avoient longuement esté à l'encre sans avoir riens fait et mengié tous leurs vivres, retirerent leursdiz anchres et s'en retournerent à leur duc surtrayne boyau et sans avoir riens fait; (ROYE, Chron. scand., I, 1460-1483, 244)
[10] et ce voyant, les gens d'armes qui estoient dedans pour le roy et qu'ilz n'y peurent resister, se retirerent au chasteau jusquez au nombre de soixante combatans, tant de ceulx qui estoient audit chasteau à l'eure de laditte prinse, que de ceulx qui estoient eschappez de la ville, et se mist le seigneur de Mauves, capitaine pour le roy, dedans ledit chasteau. (LE CLERC, Interp. Roye, c.1502, 379)

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