C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de torse dans 7FMR 
8 attestations 
 Page /1 

[1] Mais depuis s'est si fort acreue Celle place que nul recreue Ne l'a par guerre, ne par force, Et a, non pas par voye torse, Conquise moult grant seigneurie ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 19)
[2] de sa force Si nous monstre, soit droit ou torse, Toute chose, sanz nous mot dire, Et a cognoiscence nous tire, Sanz experience doubler. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 126)
[3] mais dormi N'ot gaires, quant un autre errant, Qui aventures vait querant, Aultressi lassez et moullez, Et de son pays exillez Se fu partis, si comme a force, La fu par mainte voye torse Venus et se cuide logier Soubz le portail et hebargier. (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 298)
[4] Nonpourtant si se deffendi, Que maint jusqu'aux dens pourfendy, Et tant a fait par sa grant force, Malgré eulx, q'une voye torse Et estroicte lui fu garent ; (CHR. PIZ., M.F., II, 1400-1403, 307)
[5] S'il est ainssy, com nous creons, Que vous soyez vrays dieux, et forceHayez de vengier chose torse, Je vous pri que mon filz Pharnaces Puist encor oyr telz menaces De ses enfens, com j'oz de luy, Sanz confort avoir de nulluy. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 21)
[6] Ains, aux mauvais souffit seulement avoir regart d'aviser par grant diligence les tours et chemins comment argent pourra estre trait et venir ens, soit par voie droite, torse au grief du peuple par tirannie et cruaulté, à grant pechié, ou autrement, bien ou mal que ce soit, mais que aucunement soit coulouréz que pour aucune juste cause soit souffist assez. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 78)
[7] mais il failloit qu'ilz prinsent bien deux lieues de torse pour trouver passaige. (COMM., I, 1489-1491, 107)
[8] Je croy que mes iex ne sont point enflambéz ne ma bouche torse ne je ne crie haut ne je n'escume ne m'eschaufe ne rougi ne ne di lourdes paroles ne chose dont je me doie repentir, ne ne tremble de courrouz ne me demaine point malcourtoisement. (FOUL., Policrat., IV, 1372, 74)
[9] Et en vne autre ylle deuers mydy demeurent gens de laide estature et de mauuaise nature, qui vont point de teste et ont les yeux et les espaules et la bouche torse comme vn fer de cheual et en my la pointrine. (6203, 343)
[10]LA sauge se plante de branche torse au pied, et deracine en prin-temps et automne : elle se seme aussien mesme temps : sa racine se resjouït d'estre entoureede cendre de lexive. de cheual et en my la pointrine. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))

Fermer la fenêtre