C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de trempee dans 7FMR 
4 attestations 
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[1] Et benoist Olivier celluy qui celle espee avoit forgié et trempee. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 59)
[2] puis mengier a la moustarde ou menger trempee au beurre. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 237)
[3] La salee peu trempee sent trop le sel, et la trop trempee n'est pas bonne. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 237)
[4] La salee peu trempee sent trop le sel, et la trop trempee n'est pas bonne. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 237)
[5]LEs liz doivent estre plantez au mois d'Octobre etde Novembre en terre grasse et bien houée : tu donnerastelle couleur à leurs fleurs que tu voudras siavant que les planter, tu macere leur racine en tellesubstance coloree qu'il te semblera, puis arrose la racine planteedans la fossette de la mesme liqueur, en ceste sorte l'on ditque les fleurs de liz proviennent rouges et purpurees, si leurracine avant qu'estre plantee, est trempee en lie de vin rouge,ou en cinnabre destrempé, puis de la mesme lie arrosee en lafosse où elle sera plantee. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, (null))
[6]Quand l'arbre perd sa fleur, ou que les fueilles luy tombentluy faut deschausser les racines, et les entourer avecpaille de febves trempee en eau. siavant que les planter, tu macere leur racine en tellesubstance coloree qu'il te semblera, puis arrose la racine planteedans la fossette de la mesme liqueur, en ceste sorte l'on ditque les fleurs de liz proviennent rouges et purpurees, si leurracine avant qu'estre plantee, est trempee en lie de vin rouge,ou en cinnabre destrempé, puis de la mesme lie arrosee en lafosse où elle sera plantee. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 84 v°)
[7]L'esprevier et l'autour ne different d'autre chose qu'engrandeur, et sont de deux sortes niais et ramage : on les apprivoiseles tenant bien longuement et souvent sur la main, etprincipalement à l'aube du jour : on leur donnera à mangerdeux fois le jour, ou une fois, principalement quand le lendemainon les voudra faire voler : car alors l'esprevier doit estreaffamé, à fin qu'il prenne mieux sa proye : leur nourriture doitestre de bonnes chairs, specialement d'oyseaux et de moutonà fin qu'ils soyent bien gras : l'esprevier est facile à laisser sonmaistre, et pour obvier à ce, faut que le maistre garde de leblesser, et ne luy contredire en rien, car il est desdaigneux :quand il ira voler, il ne le doit point laisser aller trop loing,d'autant que quand il ne peut attraper l'oyseau qui vole, ils'en va par indignation et monte sur un arbre sans vouloir retournerà son maistre : ne le doit travailler outre mesure, maisse doit contenter de ce qu'il pourra prendre, et luy donnerde sa proye à manger, à fin qu'il sente ce que sa proye luy avalu, et qu'il soit enflambé de volontiers voler : les oyseauxqu'il prend sont perdrix, cailles, estourneaux, merles et autressemblables : sera soigneux de le guarir quand il sera malade :s'il a la fievre apres long travail ou à raison d'autres accidents,le faut mettre en lieux frais sur perches enveloppees de drappeauxmouillez, et les nourrir peu et souvent de chair de petitspoullets trempee premierement en eau où aura trempésemence de courges ou de concombres : s'il est refroidy lefaut tenir chaudement, et le nourrir de chair de poullet masleou de pigeons trempez en vin, ou en decoction de sauge,marjolaine et autre semblable : s'il a des poux faut oindre saperche avec jus de morelle, ou d'aluyne : s'il a des vers dans lecorps, faut mettre sur leurs viandes fueilles de peschers : s'il ales gouttes à l'aile ou à la cuisse, faut luy tirer quelque gouttede sang de la veine qui est sous l'aile, ou dessous la cuisse : s'ilest podagre faut oindre ses pieds avec jus de l'herbe nommeelaicterolle, mesme la perche où il sera. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 153 v°)

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