C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de trempees dans 7FMR 
7 attestations 
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[1] Ou se vous n'avez terre de robes, faictes mectre cendres tremper en lessive et icelles cendres bien trempees mectez sur la tache. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 132)
[2] Feves vieilles qui sont pour cuire a toute l'escorche doivent estre trempees, et mises au feu en ung pot des le soir devant et toute la nuyt. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 199)
[3] Puis prenez pain hallé sur le greil, ou chappeleures de pain trempees ou bouillon de la char, et ung petit de vin. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 207)
[4] Puiz ayez des amandes pelees et broyees, deffaictes de puree de poiz, coulees par l'estamine, et du pain harlé ou des chappellures trempees en puree, broyees et coulees par l'estamine; (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 208)
[5] Et ainsi trempees soient lavees en eaue tiede puis mises et essuiees en une touaille. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 253)
[6] puis ostez, et ayez pain hazé trempé, ou chapellures foison en vinaigre trempees et coulees. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 258)
[7] Broyez gingembre, aulx et croustes de pain blanc trempees en vinaigre, ou pain ars, et deffaictes de vinaigre. (Ménagier Paris B.F., c.1392-1394, 259)
[8] Aux cloux et apostumesil les faut faire meurir avec levain, oignon de lis ou de squilleet vinaigre : et puis les crever, et les nettoyer en son urinechaudement, et y mettre des tentes trempees en poix liquides,et finalement du charpy trempé en suif de chevre oude beuf. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 23 v°)
[9]Contre le flux de ventre que l'on nomme la courance, sertbeaucoup le breuvage fait de poudre de galles, avec vin vermeilet farine d'amydon destrempez ensemble : ou bien si leflux advient par morfondure, baillez de soupes trempees envin vermeil doux et eau rose : et luy frottez les reins et le ventreavec du vin vermeil, de l'huile rosat, et quelque peu desel. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 32 v°)
[10] Pourra estre semé pareillementde figues trempees, et liees à l'entour avec petite corde,puis ainsi plantees et apres diligemment arrosees. (CHARLES ESTIENNE, L'Agriculture et maison rustique, 1564, 50 v°)

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