C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vauldroient dans 7FMR 
5 attestations 
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[1] car vous nous povez plus faire de bien en une heure que ne nous vauldroient toutes les pratiques que nous y pourrions trouver. (BUEIL, II, 1461-1466, 169)
[2] Et se deux personnes qui sentreheent sont acordes par amis, ou que aucun face aucune aliance entre eulz, il conuient que chascun boiue du sanc lun de lautre, ou autrement lacordance ne aliance ne vauldroient riens, ne il ne seroit de riens reprouchie ne reprouue qui feroit contre celle ordenance ou celle aliance. (6203, 340)
[3] Et fut ordonné que les escuz d'or du roy, qui par avant avoient eu cours pour XXIIII sous parisis et trois tournois, auroient cours pour trente-cinq unzains, valans XXV sous VIII deniers parisis, et que on feroit des autres escuz d'or qui auroient ung croissant ou lieu de la couronne qui estoit es autres escuz, qui vauldroient XXXVI unzains du pris de XXVI sous et VI deniers tournois, et des douzains neufz de XII tournois piece. (ROYE, Chron. scand., II, 1460-1483, 1)
[4] Et des , il en y a de grandes tant sur la mer que sur les rivieres d'eaue doulce, qui vauldroient beaucop se on ne les donnoit point; (JUV. URS., Nescio, 1445, 530)
[5] la seconde comme deux, la tierce comme trois, la quarte comme quatre, la quinte comme cinq, la .VIe. comme six, la .VIIe. comme sept, la .VIIIe. comme huit, la .IXe. comme neuf et la .Xe. ne vault riens par soy, mais elle fait valoir les figures qui sont devant li, .X. foiz autant comme ilz vauldroient sanz lui. (7006, 233)
[6] et se il avenoit que il y eust aucunes maisons ou ediffices qui, de necessité ou autrement, feussent ou soient despeciés ou abatuz, tout le merrean, pierres et autres choses qui de ce ystroient, qui aucune chose vauldroient, il promist et gaiga, comme dessus est dit, mettre et convertir en l'amendement et proffit necessaire de la ditte maison et non allieurs, senz ce que yl en puisse riens vendre ne transporter en autrui personne ne donner ou autrement aliener. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 229)
[7] Et, ou cas que la dicte maison et jardin ne vauldroient la dicte rente ou devendroient en ruine ou en tel estat que la dicte Martine ou ses hoirs n'y peussent prendre la dicte rente, iceulz vendeurs baillent en contreplege une maison, ainsi que elle se comporte, qu'il ont de leur conquest, assise ou Mont Sainte Genevieve, a l'enseingne du Pot d'Estain, ou il y a un estail a bouchier, tenant, d'une part, aux escolliers de Laon et, d'autre part, au dit Guillaume Linete, en la censive Saint Magloire, chargiee par an en vint lb. par. de crois de cenz ou rente ; (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 482)

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