C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vaux dans 7FMR 
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[1] Et si avoit de bons courciers,Plus tost courans que nuls chevaus, Pour courir les mons et les vaux, Si comme l'onde se demeinne De la mer, quant li vens la meinne, Et la tourble et fait tempester, Si qu'on ne la puet arrester. (MACH., P. Alex., p.1369, 57)
[2] Et si vous doing, a brief parler, Le royaume de Mirabel Qui m'est escheu de nouvel, Et la conté des Vaux Plaissiez, Puis qu'a Espaigne renonciez Du tout en tout. meinne, Et la tourble et fait tempester, Si qu'on ne la puet arrester. (Mir. Oton, c.1370, 387)
[3] Ceste Sibile estoit de par sa grant mere, venue de Savoie, d'une contree nommee Vaux dont premiers vindrent les Vaudois, de laquele science elle avoit beaucop retenu. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 100)
[4] maigre et longue femme estoit et si se disoit gentil femme a cause de Vaux. (Ev. Quen. I, c.1466-1474, 100)
[5] laquelle dame, tant pour elle que comme procurateur de son dict mari et au proffit de Jehan de Bethencourt son filz et son heritier, recongnut avoir baillé fieffe à fin d'heritage perpetuel et du tout en tout delaissé à Guillaume de Vaux une pieche de terre et masure vuide assise en la paroisse de Grainville si comme elle se pourporte de long en large jouxte le dict Guillaume d'un costé et d'ung bout a la rue du moustier, et d'autre bout au ruissel de Torton, pour la somme et nombre de cinq solz et ung cappon de rente par an, pour toutes rentes, a paier les cinq solz à la Sainct Michel et le cappon à Noel, à tenir, avoir et par droict heritage posseder au dict Guilleume et à ses hoirs la dicte fieffe bien franchement et quittement par la rente dessus declarée. (6205, 324)
[6] Et aussy je suis natif de Savoye en Vaux, sans apprendre la langue françoise originalle, ne mon sens ne sçavoir ne porte pas de desduyre telle matiere sans errer en la magniere de parler pour mon lengaige, qui est gros et rude pour mon entendement, qui est petit, et par pluseurs aultres occupacions ou je suis detenu. (BAGNYON, Hist. Charlem. K., c.1465-1470, 221)
[7] Dompt Jehan de Vaux, très grant astrologien en Haynault, religieux de Saint Gillain, lequel fist plusieurs beaulx jugemens sur la partie des interrogacions, qui sont encore en memoire à plusieurs, au moïen desquelz il fut moult estimé, tant en France que en Flandres. (SIMON DE PHARES, Astrol., c.1494-1498, 172)
[8] Item, cogneut que, VIJ ans a ou environ, il et un compaignon nommé Paicon Le Rousselet, qui est alez de vie à trespassement, en passant par la ville de Vaux soubz Laon, et au bout d'icelle ville, trouverent environ IIIJ aulnes de toille qui sechoient à une haye au bout d'icelle ville, laquele toile il prindrent et appliquerent à leur prouffit, et d'icelle firent faire des chemises et des brayes pour eulx. (Reg. crim. Chât., I, 1389-1392, 147)
[9] OUQUEL XVJe jour dudit mois d'aoust, en enterinant lequel jugement, ledit Martin du Val, prisonnier, fu trainé au devant du Chastellet, et d'ilec menez à la justice du roy nostre sire, ouquel lieu, et en la presence de maistres Nicolas Bertin, examinateur, et Aleaume Cachemarée, clerc de mons. le prevost, commis à faire fere ladite excecucion, icellui Martin du Val, après ce qu'il ot continué et perseveré ès confessions par lui autrefois faites, cogneut et confessa, oultre et par-dessus icelles confessions, que en vendenges derrenierement passées, il estant en l'ostel Monson de Vaux, son cousin, demourant en la ville Dyerre, à deux lieues près d'Amboise, et lequel son cousin lui avoit leissié en garde sondit hostel, tempté de l'ennemi, recula à un petit coustel le pelle d'une serrure à un coffre ou huche estant oudit hostel, ouquel il mal print et embla deux escus d'or et deux verges d'argent qui estoient en un hanap de madre en icelle huche. (Reg. crim. Chât., II, 1389-1392, 272)
[10] et avecques ce, que il feissent gré et satisfacion aus diz religieus de Saint Magloire de mil livr. de tour. de la monnoie courant devant Pasques, et au gardien des dizreligieus de soixante livr., et a Colin et Perrin de Vaux, freres dou dit gardien, a chascun de vint livr. tour., touz de la dite monnoie, en quoy il estoient et avoient esté condempnez envers les dessus nommés par le dit arrest ou jugié. (Chartes Abb. St-Magl. T.F., t.3, 1330-1436, 15)

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