C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de vefve dans 7FMR 
64 attestations 
 Page /7 

[1] Et depuis espousa le roy Edouard le fille d'ung chevalier d'Angleterre appellé monsr de Rivieres, femme vefve, qui avoit deux filz, et aussi par amourettes. (COMM., II, 1489-1491, 232)
[2] Et depuis espousa le roy Edouard le fille d'ung chevalier d'Angleterre appellé monsr de Rivieres, femme vefve, qui avoit deux filz, et aussi par amourettes. (COMM., II, 1489-1491, 232)
[3] Faisoient diligence en Italye, et par especial à Millan, où avoit pour duc Jehan Galiace, non point le grant, qui est enterré aux Chartreux de Pavye, mais cestui estoit filz du duc Galiace et de la duchesse Bonne, fille de Savoye, qui estoit de petit sens: car elle eut la tutelle de ses enffans, et l'ay veüe en grand auctorité, estant vefve, conduitte par ung appellé messire Cico, secretaire, nourry de long tempsen ceste maison, qui avoit chassé tous les frères du duc Galiace et confinéz, pour la seüreté de ladite dame et ses enffans, entre les aultres, ung appellé le seigneur Ludovic, qui depuis fut duc de Millan, qu'elle rappella despuys, estant son ennemy et en guerre contre elle, et le seigneur Robert de Sainct Severin, vaillant cappitaine, qui pareillement avoit chassé ledit Cico. (COMM., III, 1495-1498, 11)
[4] Et de là alla le roy à Turin et emprunta les bagues de madame de Savoye, fille du feu marquis le seigneur Guillaume de Montferrat, vefve du duc Charles de Savoye, et les mist en gaige pour douze mil ducatz. (COMM., III, 1495-1498, 36)
[5] Et, peu de joursaprès, fut à Casalz, vers la marquise de Montferrat, dame jeune et saige, vefve du marquis de Montferrat. (COMM., III, 1495-1498, 36)
[6] Et tirèrent vers Forly, dont estoit dame une bastarde de Milan, vefve du conte Jheronime, qui avoit esté nepveu du pape Sixte, ou l'on le disoit, laquelle tenoit leur parti. (COMM., III, 1495-1498, 50)
[7] Je le vous jure par ma foy Et sur le peril de mon ame: Je suis sa mere, povre dame, Vefve royne née d'Espaigne, Fille de roy, d'amis lointaingne, Desconseilliée, sanz seignour, Qui voy le mal et la dolour De mon enfant et de son regne, Le mal qui au bien commun regne, Et qui est taillié de regner Par default de bien gouverner. (DESCH., M.M., c.1385-1403, 305)
[8] LA VEFVE. (LA VIGNE, S.M., 1496, 487)
[9] LA VEFVE. (LA VIGNE, S.M., 1496, 489)
[10] LA VEFVE. (LA VIGNE, S.M., 1496, 490)

64 attestations 
 Page /7 
Fermer la fenêtre