| [1] | » Nostre roy, encore le feist-il envis, mandoit les plus riches de ses citoyens et subgiez et adonc tres debonnairement les requeroit de prest raisonnable, par si que il les assignoit de paiement sus ses receptes et revenues cleres et bien venans jusques à ffin de paye ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 70) | | [2] | Se on a paour que les eaues et rivieres ou fontaines venans par conduis ou chastel puissent estre tollues, on doit faire cysternes pour garder eaue, se c'est si près de la mer que les puis y soient salez ; (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., I, 1404, 235) | | [3] | Item, la response que le roy Charles fist à la parole, que raporterent les heiraulx venans d'Angleterre. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 3) | | [4] | Un homme estoit à Paris du temps du sage royCharles, qui aprise avoit une telle industrie que merveilleusement il sailloit, tumboit, et faisoit plusieurs apertises sus cordes tendues hault en l'air, qui sembleroit à dire, qui veu ne l'aroit, chose impossible, car il tendoit cordes bien menues, venans depuis les tours de Nostre-Dame de Paris jusques au Palais, et plus loings, et par dessus ces cordes, en l'air sailloit et faisoit jeux d'apertise, si qu'il sembloit qu'il voulast, et aussi le voleur estoit appellés. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 60) | | [5] | Cy dist la sage response que le roy Charles fist à la parole, que raporterent les hairaulx venans d'Angleterre. (CHR. PIZ., Faits meurs Ch. V, S., II, 1404, 79) | | [6] | Mais, disoient ilz, toutes mutacions qui adviennent es choses sont faictes vers aucuns accidens venans de la matiere, comme sont passions ou quelconques qualitez. (CHR. PIZ., Avision R.D., 1405, 60) | | [7] | Mais quant en ung prince la vertu et bonnes condicions precèdent les vices, il est digne de grand louenge, veu qu'ilz sont plus enclins a toutes choses voluntaires que autres hommes, tant pour la nourriture et petit chastoyqu'ilz ont eu en leurs jeunesses que pour ce que, venans en l'aage d'homme, la pluspart des gens taschent à leur complaire et à leurs complexions et condicions. (COMM., I, 1489-1491, 1) | | [8] | car jà y avoit gens de la cité allans et venans pour appoincter. (COMM., I, 1489-1491, 147) | | [9] | mais peu dura, car il sailloit des gens de tous costéz venans au logeïs dudict duc. (COMM., I, 1489-1491, 157) | | [10] | Ainsi se passa l'yver, qui jà estoit avancé, quant le roy partit de nous, incessament gens allans et venans sur ce partaige, car le roy pour riens ne deliberoit bailler celluy qu'il avoit promys, car il ne vouloit point son frère et ledict duc si près voysins et traictoit le roy avec son frère de luy faire prendre Guyenne avecques la Rochelle, qui estoit presque toute Acquittaine, et valloit trop myeulx ce partaige que celuy de Brye et Champaigne. (COMM., I, 1489-1491, 170) |
|
|
Attestation de 