C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de venions dans 7FMR 
1 attestations 
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[1] Et en alant le conte lui dist: Remondin, beaulx cousins, s'il se puet bonnement faire, dictes moy de quel lignie vostre femme est, combien que quant le chevalier ancien vint a nous de par elle pour nous logier, qui nous mercia de l'onnour que nous vous venions faire, de par ma damoiselle Melusigne d'Albanie. (ARRAS, c.1392-1393, 43)
[2] Et comme de là nous allions, venions, frequentions, mangions et beuvions parmi les sauvages (lesquels sans comparaison nous furent plus humains que celuy lequel, sans luy avoir meffait, ne nous peut souffrir avec luy), aussi eux, de leur part, nous apportans des vivres et autres choses dont nous avions affaire, nous y venoyent souvent visiter. (S746, 196)
[3] Toutesfois apres que le charpentier eut bien visité ce vaisseau, ayant dit qu'estant trop vieux et tout rongé de vers il ne valloit rien pour faire le voyage que nous entreprenions, son advis fut que nous retournissions d'où nous venions, et là attendre qu'il vinst un autre navire de France, ou bien que nous en fissions un neuf, et fut cela fort debattu. (S746, 510)
[4] Apres doncques que nous eusmes receu ce nouveau benefice de la main de celuy, lequel, ainsi que j'ay dit, tant sur mer que sur terre se monstra nostre protecteur, nos mariniers departans de ceste ville de Hanebon pour s'en aller en leur pays de Normandie, nous aussi pour nous oster d'entre ces Bretons bretonnans, le langage desquels nous entendions moins que celuy des sauvages Ameriquains d'avec lesquels nous venions, nous hastasmes de venir en la ville de Nantes, de laquelle nous n'estions qu'à trente deux lieuës. (S746, 546)

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