C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de venoye dans 7FMR 
8 attestations 
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[1] Seigneur Pierre, je me recommande a vous tant comme je puis, pour ce que, a l'eure que voz gens partirent de Lyon, ilz me escripvirent, me priant que si venoye ycy en court, que je voulsisse aider a adoulsir les choses qui estoient mal entendues ceans, et l'on vous trouveroit tousjours bon serviteur et amy du Roy. (0304, 191)
[2] " Je fuz, par Dieu, tant esperdu Que ne scavoye dont venoye. (B. veoir, p.1480, 17)
[3]Vers vous venoye [pour] emprunter or ou monnoye, Car je vous jure en verité Que j'en ay grant necessité Et telle que je n'en puis plus. que si venoye ycy en court, que je voulsisse aider a adoulsir les choses qui estoient mal entendues ceans, et l'on vous trouveroit tousjours bon serviteur et amy du Roy. (Mir. st Nic. juif, c.1480-1500, 87)
[4]Sire, a li aussi m'en venoye, Toute pensant, n'en doutez pas. (Mir. fille roy Hongrie, c.1371, 15)
[5] En tirant d'Orleans a Blois, L'autre jour par eaue venoye. (CH. D'ORLÉANS, Ball. C., c.1415-1457, 154)
[6]Ce n'est que chose acoustumee, Quant Soussy voy vers moy venir, Se tost ne lui venoye ouvrir, Il romproit l'uis de ma Pensee. (CH. D'ORLÉANS, Rond. C., 1443-1460, 423)
[7] Mais se je ne venoye, si faictes ce que je vous manderay par ce mien chevalier. (ARRAS, c.1392-1393, 134)
[8] Et sachiez que je m'en venoye coyement de la bataille et cuidoie venir querre le secours, mais le deable au grant dent m'apperceut, et me convint jouster a lui. (ARRAS, c.1392-1393, 234)
[9] Et come je venoye a ceste cipté de Palermo en my le voye je trouvay pour tiel encontre ung bon chivallier du paiis de Bearn que avoyt a nom messire Arnout de sainte Coullomme, le quell aussi bien alloit part devers le ditte cipté et eut tres grant [f°80 r°] joye de ma venue et de ma encontree car il cognoissoit tout mon pays qu'il c'estoit norri en ma terre ou monseigneur mon pere, cuy Dieux absoille, a Caumont. (6208, 64)
[10] Aprés ces paroles se leva Hanibal le prevost et dist: "Seigneur, entendez: ainsi que je m'en venoye a court, comme j'ay fait bien souvent, je trouvay que ceste gent tenoientgrant plait d'un jeu qu'il avoient fait, et convint en la fin que le Rommain feïst serement de venir au jour a la journee d'uy. (Bérinus, I, c.1350-1370, 81)

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