C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de venoyent dans 7FMR 
35 attestations 
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[1] La me tira Doulx Regart mainte vire Dont les unes feiblement m'assonnoyent, Les autres mieulx, car tost et dru venoyent. (CHART., R. Bal., c.1410-1425, 389)
[2] lors, ouvriers De telz ouvrages coustumiers, Pour leur mesures a droit traire, En terre, et au mieulx la pourtraire, Ont fichiez pieuz et mis mesures, Mais signes de mesaventures Et de dommages perilleux Leur avindrent moult merveilleux, Car, par nuit, loups es lieux venoyent, Qui pieux et mesures rompoyent, Et, par les champs, en pluseurs parsLes lançoyent gisans espars ; (CHR. PIZ., M.F., III, 1400-1403, 263)
[3] A Romme ne sont pas tourné Rommains, ainçoiz se sont tourné Contre Cicambrins et Thïoiz,Qui venoyent contr'eulx ainçoiz. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 3)
[4] Si grant roy n'iert, qui s'osast prendre A luy, ains tous et soir et mainSe venoyent rendre en sa main. (CHR. PIZ., M.F., IV, 1400-1403, 56)
[5] Or, voyant le roy que là ne povoit si tost avoir fait et que le conte de Charroloys s'aprochoit de Paris, doubtant qu'ilz ne feissent ouverture à luy et à son frère et duc de Bretaigne qui venoyent du costé de Bretaigne, à cause que tous se coulouroyent sur le bien publicque du royaulme, et que ce que eust fait ladicte cité de Paris doubtoit que toutes les autres villes ne feissent le semblable, se delibera à grans journées de venir entrer dedans Paris et garder que ces deux grosses armées ne se peussent assembler. (COMM., I, 1489-1491, 18)
[6] Ledict conte de Charroloys trouva le conte de Sainct Pol à pied, et tous les autres se mectoient à la fille comme ilz venoyent, et trouvasmes tous les archiers deshouzéz, chascun ung pau planté devant eulx, et y avoit plusieurs pippes de vin deffoncées pour le faire boyre; (COMM., I, 1489-1491, 23)
[7] Les gens du roy venoyent à la fille par la forest de Tourfou; (COMM., I, 1489-1491, 24)
[8] ou, s'ilz venoient par terre le droit chemin, ilz venoyent en grant peril. (COMM., I, 1489-1491, 100)
[9] Et estoient avec le duc de Bourgongne le seigneur d'Urfé, Poncet de Rivières, et plusieurs autres petiz personnaiges, qui alloient et venoyent pour le duc de Guyenne; (COMM., I, 1489-1491, 222)
[10] et taschoient à luy rompre ses vivres, qui venoyent par eaue du pays de Gueldres, contremont la rivière, et rompre les batteaulx à coups de canon. (COMM., II, 1489-1491, 12)

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