C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de commune dans la Base des Partiels 

161 attestations 
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[1] ...et y a des ponts tant grans que petis, tant de boys que de pierre, environ de douze ... quinze cens au plus, selon commune estimation. (Voy. Hierus. S., 1480, 11).
[2] Et me fist mondit seigneur capitaine de Rotredam, soubz moy deux cens combatans, o- nous eusmes une aventure de la commune de la ville qui s'esmeut contre nous (LANNOY, Voy. amb. P.H., p.1450, 163).
[3] ...il n'avoit pas dessoubz soy dix hommes, combien qu'il soit de commune bonne ligniée. (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 441).
[4] Maistre Jehan de Clugny, ambassadeur du duc de Bourgogne aux députés du roi de France] (r)Ceste matere est et doit estre commune entre vous et nous, car le bien, l'honneur et la felicité du roy est celuy de monsieur nostre maistre, l'union de sa maison l'entretenement de la nostre...» (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 46).
[5] Communication est assavoir commune parolle ensemble. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 47).
[6] ...par ce que attif homme estoit [l'évêque d'Autun] et agu et de grant port a cause de son pere [le chancelier de Bourgogne], apliquoit a l'espiritualité beaucop de choses temporelles dont ne devoit avoir cognoissance, en foulle certes des nobles et vassaux qui s'en doloient et ausquelz par chescun jour il donnoit traveil sans que remedier y peussent. Et posé ores que ilz s'en dolussent, si le convenoit il porter ainsi. Et par ainsy, le pere de l'un costé et le filz de l'aultre tant acquirent de haynes et de murmuremens contre eulx qu'a peines tous les nobles de Bourgoingne d'une commune voix et bouce en firent leurs clameurs. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 111).
[7] Mes Dieu selong la disposition du cas assez remedeablement y pourveit, et amitigua misterieusement la difficulté de la matere par prudence du chapitre non cheant en oppinion commune, comme vous orez. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 269).
[8] Helas ! bien est approuvé en moy le proverbe commune, disant - c'est layde chose au docteur quant sa coulpe le redargue. (MéZIèRES, Vertu sacr. mar. G.-K., c.1384-1389, 58).
[9] ...et le peril de mort en qoi jeo siu, ceo n'est mye la commune mort, einz est escomyné mort : c'est la male mort d'enfer qi est la mort qe mourt qi mort est en [qe mourt qi mort est en] pecché. De celle mordure et male mort nous en garde touz Celuy qi outre touz est tout puissant (HENRI LANC., Seyntz medicines A., 1354, 130).
[10] Une maniere de soy disposer n'est pas commune a tous : car aultre maniere appartient aux commençans, aultre maniere aux prouffitans, et aultre aux parfais. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 174).

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