C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de communs dans la Base des Partiels 

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[1] Messire Jehan de Croy, ambassadeur du duc de Bourgogne au roi de France] En vostre propre ostel, [les gens du duc de Bourgogne] ne treuvent comme nulz qui les veulle converser, et les communs langages de pluseurs des vostres sont l'un a l'aultre : (r)Tu es plus traitre que ung Bourguignon». (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 186).
[2] Car, comme les maulz accustumez [l. accoustumez] sont pires que les maulz communs par subreption, ainsy sont meilleures les euvres de vertu enracinee par accoustumance. (Traité S. Sacr. B., c.1451-1500, 167).
[3] ...a la verité sez fais estoient en France aussy communs a toutez gens qu'il eussent esté meismez en Castille et ou il lez avoit victorieusement achievez (Comte Artois S., c.1453-1467, 151).
[4] ...il fist cerchier et guettier les chemins communs par toutes ses gens, l'un deça, l'autre dela. Et lui avec sa dicte amie tant seullement cheminoit par voyes non usaigees et de travers champs. (RASSE BRUNH., Flor. Elvide B.N. C., a.1456, 8).
[5] Mais pour honnorer le bon sire Aprés sa mort, com nous devons, Puis qu'en vie ne le trouvons, Lÿons nous de communs accord D'aler oindre son digne corps Au sepulcrë ou il est mis. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 781).
[6] ...Comme gloire et parfait delit ne puist estre en quelconques chose escalourgiable ou muable, c'est assavoir qui puist estre mué de un en autre, si que sont souvent les communs deliz par divers accidens de joye tourné en dueil, ne puet doncques estre felicité, laquelle chose est droite joye fors ès choses qui sont en si hault degré de bonté et si fichiées que decheoir ne peuent pour quelconques troubles ne estre tresbuchiées. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 64).
[7] Et n'est pas doubte que meilleurs en seroient les besongnes du roy et les communs prouffis, quoy qu'il semble à ceulx qui l'ont acoustumé que meismes merchandise et tous autres affaires ne puissent estre frequentées sans l'usage de menterie, laquelle chose n'est autre riens ne mais coulourer de faulceté, tricherie et barat par dire mençonges par grans sermans parjurés afermeement. (CHR. PIZ., Paix W., 1412-1413, 165).
[8] affin de monstrer le grant default et mesus que aujourduy se faict en icelle par les marchans et communs (ORESME, Monnoies W., c.1365, I).
[9] Et donques ne seroient il pas du tout indifferens et communs equalment comme Socrates vouloit. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 79).
[10] Et aucuns autres dient que ces proviseurs tiennent princey tirannique, mes il tiennent princey democratique quant est as convis ou digners communs et quant a ordenner les despens et la maniere de la vie cotidiane et du pris des viandes. (ORESME, Pol. Arist. M., c.1372-1374, 90).

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