C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de conmun dans la Base des Partiels 

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[1] Car quant un malade se guerit de sa maladie soubdainement et oultre conmun cours de nature, c'est signe qu'i soit gueriz par miracle et par la grace du Saint Espirit. Or est ainsi, come l'en dit, que, aux roys de France, par l'unction et la consecracion royal, le Saint Espirit donne pover de guerir lez malades de escrouelles. (Songe verg. S., t.1, 1378, 131).
[2] ...pour quoy il s'ensieut que l'Impereur ou le Roy ne puet dependre lez choses de l'ampyre ou du royaume, se ce n'est pour le bien conmun de sez subjés et de son pueple. (Songe verg. S., t.1, 1378, 208).
[3] Et aussi, celle Autentique Cessante ne fait rien au propos, car elle ne palle mie en royaumes, ne en choses feudales, ezquellez fame ne puet, de Droit conmun de fieuz, succeder. (Songe verg. S., t.1, 1378, 253).
[4] Derechief, par trop grant debonaireté et par trop grant misericorde, le bien conmun si est depisié et mis arriere, et de ce puent essir tous maux (Songe verg. S., t.1, 1378, 343).
[5] Conme l'en pourret mectre assez exemple du temps de la Jaquerie en France, car qui eust pugny tous lez Jaques, ce n'eust pas esté le proufit conmun, car lez terres fussent demourees a labourer et lez euvres mechaniques et neccessaires pour la vie humaine fussent laissiees affaire, ou il faussit que lez clers et lez nobles lez eussent faittes, lezquelx devent vaquier au service divin et a la deffense de la chose publique (Songe verg. S., t.1, 1378, 344).
[6] Derechief, c'est chose repugnante au cours dez choses natureles, qui est conmun a toutes choses, car l'usurier veult vendre le temps, qui est conmun a toute creature ; car, quant il preste cent frans juques a certain temps et pour le terme donner et ottroïer, il en veult avoir aultre cent de sourcroys (Songe verg. S., t.1, 1378, 356).
[7] Derechief, c'est chose repugnante au cours dez choses natureles, qui est conmun a toutes choses, car l'usurier veult vendre le temps, qui est conmun a toute creature ; car, quant il preste cent frans juques a certain temps et pour le terme donner et ottroïer, il en veult avoir aultre cent de sourcroys (Songe verg. S., t.1, 1378, 356).
[8] ...Diex a volu que plusieurs d'eulx aient eu longe vie, pour le proufist conmun, afin que ilz peüssent enseigner le pueple en Astrologie et es aultres sciences, lezquelles estoient enfuses en eulx, par singulier don et grace du Saint Espirit. (Songe verg. S., t.1, 1378, 405).
[9] Vous ne devés mie, donques, trop effraïer de ce cas, qui est de Droit conmun. (Songe verg. S., t.2, 1378, 149).
[10] De Droit conmun, lez causes lezquellez touchent civilité, soit en possessions ou en proprieté, si appartienent au Roy et aux seigneurs seculiers. Et, toutevoies, lez officiaux dez prelas dient que la cognescence leur appartient dez causes civiles, especiaulment sur lez possessions, et dez interdiz. (Songe verg. S., t.2, 1378, 149).

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