| [1]
...et courut tant que le cheval pouvoit aller et ferit ... celle quintaine, ... la forte course (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 166). |
| [2]
... [des hommes] qui nouvellement avoient esté prins au royaulme de Bossene ... une course que les Turcz avoient faite (LA BROQUIèRE, Voy. Outr. S., c.1455-1457, 200). |
| [3]
et pendent le temps de ladite course par les manans et habitans de la ville de Paris les murs de la ville furent fors fournis et emparés de gens et bien gardés. (* *, 62). |
| [4]
Si y avoit trois ou quattre luppars, lesquelz si tost que les lievres estoient en course on lessoit aller aprés ; et tantost furent lesdis lievres pris des lupars, dont l'esbattement estoit bel. (CHASTELL., Chron. IV D., c.1461-1472, 244). |
| [5]
...et lez aultrez, qui oultre firent leur course, trouverent leur seigneur mort, dont il furent moult dolans et desconfortez, ce a quoy le conte d'Artois n'acontoit se pou non, ainchois ne luy semble rien s'il ne fait plus fort que cela (Comte Artois S., c.1453-1467, 44). |
| [6]
...alors commanda le conte qu'ilz faindissent estre esgarez et tellement effroiez que sans nulle deffence il tournassent le doz pour prendre la fuite adfin que, quant lez Sarrazins, desroiez par ceste chasse, se mettroient a la course aprez eulx et qu'il avroient passé toutez lez embuschez, le conte avecquez lez siens tous a une fois se melleroient parmy eulx (Comte Artois S., c.1453-1467, 73). |
| [7]
...et, pour abregier, avecquez luy se mirent par destrois et boscagez a sauveté ; sy n'y eult adont plus nul conroy tenu ne quelque deffence ez payens car lez plus asseurez prindrent la course (Comte Artois S., c.1453-1467, 77). |
| [8]
...et se fery de plaine course en la plus grant presse de la bataille du roy de Grenade (Comte Artois S., c.1453-1467, 94). |
| [9]
...et se mirent en ordre pour faire la seconde course et laissèrent les destriers aller, lances baissées, et sans barguigner se férirent et attaindirent sur les escus (Faits Lalaing K., c.1470, 59). |
| [10]
Il se releva, et passèrent oultre pour parfournir leur poindre et revinrent à la tierce course (Faits Lalaing K., c.1470, 59). |
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Attestation de 