C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de croissent dans la Base des Partiels 

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[1] Et près de l... est l'isle de Corsegue qui est au droit du païs de Janevois o- croissent très bons vins blans et sont subgetz aux Janevois, et s'i retraient volentiers les larons de mer, pour ce que c'est ung poure païs et peu peuplé. (LE BOUVIER, Descript. pays H., p.1451, 67).
[2] En ce lach croissent arondines, ce sont canes grans ou roseaux, quil appellent chabin, qui bien ont XXX. toises de lonc ou plus. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 337).
[3] En ce lach croissent moult darondines et de grans glagelz, et y a dedenz ce lach cocodrilles et pluseurs autres serpens et moult de grosses sensues. (MANDEVILLE, Voy. L., p.1360, 342).
[4] Pareillement en ceste ville croissent les arbres dont vient la tourmentine. (Pèler. D., 1486, 426).
[5] Malastan, province, et est le païs o- croissent les balaiz. (JEAN DE SULTANIEH, Mém. Tamerlan M., 1403, 448).
[6] Une tombe ou millieu avoit De la chambre qui noble estoit, Et seoit la tombe sur six Pilliers de fin or tous massis. De fines pierres y ot moult, Car aussi croissent ilz ou mont; On ne puet trouver de plus fines, Ilz portent moult grant medicines. Un roy ot par dessus, armé, De cassidone bien fourmé; Dessus la tombe estoit gesant En celle chambre reluisant. (COUDRETTE, Mélus. R., c. 1400, 270).
[7] «...Pas n'ont soucy de leur mangier, autre chose jamais ne mengeüent que des tresbeaulx fruictz qui ou parc croissent, lesquelz sont sy tresdoulx et ressasians qu'il n'est viande qui a gouster les passent.» (RENé D'ANJOU, Cuer am. espris W., 1457, 207).
[8] Puis leur faisons commandement Qu'i croissent par leur geniture, Tant bestes que oysiaulx proprement, Chascun d'eulx selon leur nature, Et soyent accouppléz par droitture, Deux ... deux, pour seurement naistre, Affin qu'il n'y ait forfaicture En gendre privé ne silvestre. (Myst. Pass. Troyes B., a.1482, 28).
[9] Item ly dyamant croissent sur les roches de cristal et de aymant c'on nomme mangnet, autrement : la pierre de maronnier qui trayt le fier. (MANDEVILLE, Lap. M., c.1350-1390, 175).
[10] Et se vous prendés deus dyamans, masle et fumelle, d'une marche, sy les mettés dedens une boiste avoec un petit de la roche sur quoy il croissent, et les moelliés souvent de la rozee du ciel et especialment de la rozee du mois de may, vous trouverés que, tous les ans, engenreront et devenront ly plus petit bien grant, selonc lor nature, car, ainsy que ly fins perles d'Orient se congree et engros et prent sa reondure de la rozee du ciel, ensy fait ly vrais dyamans et prent sa quarure. (MANDEVILLE, Lap. M., c.1350-1390, 176).

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