C.N.R.S.
 
Attestation dans les corpus textuels 
 Attestation de crut dans la Base des Partiels 

17 attestations 
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[1] Et tant crut de plus en plus que sa beaulté, gracieulz maintieng, doulz parler et penetratif regard conferma en son service le total et parfait desir d'un noble et puissant chevalier (Fille comte Pontieu B., c.1465-1468, 52).
[2] Jason doncquez crut de beauté en plus grande beaulté, son pere prinst grant plaisir a le nourrir. Tamps se passa, Jason crut et sceut aler et parler (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 126).
[3] Jason doncquez crut de beauté en plus grande beaulté, son pere prinst grant plaisir a le nourrir. Tamps se passa, Jason crut et sceut aler et parler (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 126).
[4] Ceste fille crut et eut a nom Medee, et devint tant belle qu'a souhaidier. (LEFèVRE (R.), Hist. Jason P., c.1460, 190).
[5] Et la femme crut de legier, Tant que du fruit ala mengier, Et Adam si fort ennorta Qu'avec elle du fruit gousta Que Dieu leur avoit deffendu, Dont forment l'eurent offendu. (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 3).
[6] Et s'ay tres bon vin d'Angleterre Qui a crut en roche de terre Tout hault en cruppe de montaigne (MARCADé, Myst. Pass. Arras R., a.1440, 266).
[7] Tu ressembles le fol dont la truffe parle, qui en dormant au moulin, fu revestu de la robe d'une femme, et au resveiller, pour ce que ceulx qui le mouquoyent luy tesmoingnoyent que femme estoit, crut myeulx leurs faulx diz que la certaineté de son estre. (CHR. PIZ., Cité dames C., c.1404-1407, 622).
[8] Apres par multiplicacion de coultivement tant crut et augmenta tousiours en habondance de dignete ce noble escot que les plantes ja montees et enbelies en leur force couronnerent le .IIIme. gitton de leur venue et comme le plus auttorisie en firent leur roy. (CHR. PIZ., Avision T., 1405, 78).
[9] ...par le fol consail qu'il crut comme ygnorant, Fu depuis mis à fin (Geste ducs Bourg. K., c.1410-1419, 267).
[10] «...Girard ne doibt estre creü ne tant ne quant, Ne Gibouars ses sires n'en sera crut noiant. Et vous diray pour quoy je le suis susposant...» (Huon Bordeaux B., c.1401-1450, 326).

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